Mauser a écrit :
Napoléon demandait toujours avant de nommer un général « mais a-t-il de la chance ? »
C'est Talleyrand, je crois, pour un poste diplomatique. Le jeune homme reçu et recommandé, interrogé par le Ministre sur sa chance aurait répondu: Eh bien justement, j'ai plutot joué jusqu'ici de malchance, croyant s'avantager. Et Talleyrand de conclure plus tard en racontant: on ne peut pas confier une ambassade à quelqu'un qui n'a pas de chance !
Sur le fond, il n'y a pas de réussite militaire sans un contexte civil porteur. Un pays a l'armée qu'il mérite, c'est bien connu et sans un contexte économique,national et diplomatique, aucune armée ne peut réussir, durablement du moins. Tout se tient et le naturel de la population, sa motivation, ne sont pas un petit facteur. Hitler avait de la chance à cet égard.