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Message Publié : 16 Avr 2012 11:31 
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Hérodote
Hérodote

Inscription : 16 Avr 2012 11:14
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Bonjour,
Je travaille actuellement sur ce sujet si passionnant qu'est la musique classique. En quoi la musique classique constitue-t-elle un instrument géopolitique ? Comment peut-elle servir à des fins guerrières ou pour la paix ?

Le sujet m'est familier mais je recherche des exemples historiques comme par exemple : 39-45 et Wagner ; Barenboim et son orchestre pour la paix.

Merci d'avance pour votre aide précieuse.
Bonne journée.


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Message Publié : 16 Avr 2012 13:03 
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Plutarque
Plutarque
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Inscription : 01 Jan 2012 21:34
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Bonjour!
J'ai trouvé un site qui propose une vidéo, c'est exactement le sujet que vous proposez alors je sais pas si vous participez sur ce site, je ne voudrais pas vous donner un lien qui vient déjà de vous!

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L'Histoire est une galerie de tableaux où il y a peu d'originaux et beaucoup de copies. Alexis de Tocqueville


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Message Publié : 16 Avr 2012 13:10 
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Plutarque
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Inscription : 01 Jan 2012 21:34
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C'est une émission en fait, geopolitis, mais vous devez certainement l'avoir déjà vue, c'est vraiment le sujet! :)

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Message Publié : 16 Avr 2012 13:12 
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Hérodote
Hérodote

Inscription : 16 Avr 2012 11:14
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clio38 a écrit :
C'est une émission en fait, geopolitis, mais vous devez certainement l'avoir déjà vue, c'est vraiment le sujet! :)


Je cherche en effet d'autres exemples qui pourraient compléter mon étude.
Mais merci :wink:


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Message Publié : 16 Avr 2012 13:26 
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Eginhard
Eginhard
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Inscription : 04 Juin 2008 20:24
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qq pistes (désolé si je fais doublon):
R. Strauss, Hymne des jeux olympiques de 1935.
Hans Eisler, Einheitsfrontlied en 1934 (qui ferait vibrer le plus réactionnaire d'entre nous :wink: )
Britten, War Requiem, 1962
Dessau, Requiem pour Lumumba, 1963 (spécialiste du genre : il en a écrit pour Liebknecht, Rosa Luxemburg, Lénine, ...)
Mais on peut remonter au XVIIe-XVIIIe s
Te Deum d'Utrecht de Haendel pour célébrer la fin de la guerre de Succession d'Espagne
Le Te Deum de Charpentier pour la victoire des troupes de Louis XIV à Steenkerque (le fameux indicatif de l'eurovision...). Tous les Te Deum quasiment célèbrent une victoire donc ont une fonction politique.

On peut aussi évoquer un enregistrement mythique : le 1er concerto de Tchaikovsky par van Cliburn/Kondrashin qui mérite bien d'être qualifié de légendaire. Un rappel historique (nous sommes en 1958):
Citer :
Mais c'est véritablement son succès à Moscou qui le propulse à la gloire internationale. Organisé par l'URSS, le premier Concours international Tchaïkovski était un événement destiné à démontrer la supériorité culturelle de celle-ci pendant la Guerre froide, sur la lancée de la victoire technologique du Spoutnik lancé dans l'espace quelques semaines auparavant. À la finale du concours, la lumineuse virtuosité de Cliburn dans le Concerto n°1 de Tchaïkovski et le n° 3 de Rachmaninov lui vaut une standing ovation qui dure bien huit minutes. Les juges soviétiques auraient été alors contraints de demander à Nikita Khrouchtchev la permission de donner le premier prix à cet Américain. « Est-il le meilleur ? » leur aurait demandé le dirigeant soviétique. « Alors donnez-lui le prix ! ».

Autre enregistrement lié au contexte : la 7e (Leningrad) de Chostakovitch dans sa création américaine par le NBC et Toscanini en 1942, dans une ambiance très "grande alliance" alors que la gigantesque partition a été exfiltrée de la ville assiégée.

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"Denken heisst überschreiten" : Penser signifie faire un pas au-delà. Ernst Bloch (1885-1977)


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Message Publié : 17 Avr 2012 13:10 
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Inscription : 09 Avr 2003 12:43
Message(s) : 1726
Localisation : Nantes
La musique classique, combien de divisions ?

La musique exalte l'âme. Que des militaires ou des hommes politiques l'utilisent pour glorifier telle ou telle action n'en fait pas en soi un instrument de géopolitique. Pas plus que le rock n' roll ne furent un instrument de l'impérialisme américain, ni les chœurs de l'Armée Rouge celui de l'URSS. On a jamais forcé personne à écouter Bach ou Elvis Presley, par contre on peut assoiffer des populations, les réduire à la faim, les menacer avec des armes NBC....

L'exemple archi connu et utilisé à tort et à travers de Wagner et du nazisme est un contresens complet : Wagner était antisémite comme beaucoup de ces contemporains (sujet déjà traité sur PH, inutile d'embrayer là-dessus), Hitler et ses sbires aimaient Wagner donc Wagner est un instrument de la politique nazie. C'est grotesque. Si jamais , on nous démontre demain, avec force témoignages et statistiques à l'appui, que les SS appréciaient la bière blonde et le chou farci, on en déduira quoi ? (il se pourrait même que certains brasseurs bavarois aient été sympathisants de l'ordre brun).

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"Lisez, éclairez-vous, ce n'est que par la lecture qu'on fortifie son âme." - Voltaire
"Historia vero testis temporum, lux veritatis, vita memoriae, magistra vitae." De oratore - Cicéron


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Message Publié : 17 Avr 2012 17:25 
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Eginhard
Eginhard
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Inscription : 04 Juin 2008 20:24
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J'avoue ne pas bien comprendre ce message. Pour prendre un exemple moins miné que Wagner, les nazis ont largement utilisé le 150e anniversaire de la mort de Mozart pour célébrer le génie germanique, l'âme allemande, l'inclusion de l'Autriche dans la Grande Allemagne et ce genre de fadaises. Mozart et sa musique n'y sont pour rien et ressortent intacts de ces calembredaines. Restons en au XXe s. C'est le siècle des masses, avec notamment "l'esthétisation de la politique" (Walter Benjamin), donc la musique joue là un rôle évident pour galvaniser les foules. On pense vraiment pouvoir participer à une éducation par la musique, pour apprendre à marcher au pas pour la pire, pour condamner la guerre pour la meilleure (je pense au War Requiem). Jusqu'à nouvel ordre le chou et la bière ne sont pas porteurs de message, contrairement à la musique. Elle participe bien à un affrontement idéologique, au moins en arrière-plan, comme le cinéma par exemple. Jouer de la musique allemande ou de la musique française dans la France occupée n'était pas neutre, les chefs d'orchestre l'ont bien senti au moment de la Libération. Et lorsque le public moscovite du concours Tchaïkovski s'est déchaîné en 1958 pour Cliburn, un Texan pur sucre, on peut penser qu'il profitait d'un mince espace de liberté ; de même, Khrouchtchev, en acceptant de laisser décerner le 1er prix à l'Américain, faisait un petit signe en faveur de la Détente. Est-ce que cela rend le disque enregistré à ce moment-là moins bon? Certainement pas.
Un dernier exemple pour montrer que la musique n'a pas échappé à l'histoire. En 1950 a lieu le 1er concours Bach de Leipzig, dans une RDA naissante. L'URSS organise cela pour bien montrer qui est le maître : le président du jury est Chostakovitch, et la première lauréate Tatiana Nikolaïeva, 2 Russes. Un des plus grands compositeurs du XXe s, une pianiste géniale, pour laquelle Chostokovitch écrira 24 préludes et fugues calqués sur ceux de JS Bach. On voit bien que la musique classique a été ici un enjeu géopolitique, mais en même temps, personne ne contestera que Nikolaïeva est une interprète exceptionnelle de Bach.
Bref, je parlais de musique, pas de chou ni de bière et je ne vois pas ce que ces considérations gastronomiques ont à voir avec le sujet.

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Message Publié : 17 Avr 2012 17:42 
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Inscription : 15 Avr 2004 22:26
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Localisation : Alsace, Zillisheim
calade a écrit :
On voit bien que la musique classique a été ici un enjeu géopolitique,


J'ai beau lire, relire cette phrase, dictionnaire en main, je suis comme Clio, je ne trouve que ça n'a aucun sens.

Citer :
Du grec γη (« terre ») et πολιτική (« politique »), la géopolitique « désigne tout ce qui concerne les rivalités de pouvoirs ou d’influence sur des territoires et les populations qui y vivent1 », c'est-à-dire l'étude des rapports de forces entre divers acteurs sur un espace plus ou moins défini. La géopolitique repose alors sur l'analyse des objectifs visés par les acteurs et leurs moyens mis en œuvre pour y arriver. Les acteurs sont variés : ils peuvent être des États, mais également des « mouvements politiques ou des groupes armés plus ou moins clandestins ». Les espaces sont tout autant variés de par leurs variations de tailles : les plus petits peuvent être analysés à une petite échelle (ville, commune, rue…), ou à une plus grande échelle (région, État, espaces inter- étatiques, planète).

http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9opolitique

La musique classique, comme la bière ou la choucroute ne peut pas être un "enjeu géopolitique". L'enjeu géopolitique est d’acquérir plus de pouvoir ou de prestige. La musique classique a donc été un outil dans le but d'acquérir plus de prestige. Ce serait comme prétendre que c'est le marteau qui permet de faire tenir le tableau au mur. La musique a été utilisée comme un instrument pour acquérir du prestige, comme un instrument pour accréditer l'idée que les pays communistes étaient des pays cultivés et pacifistes. Il s'agit plus d'un outil de diversion d'ailleurs.

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Une théorie n'est scientifique que si elle est réfutable.
Appelez-moi Charlie


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Message Publié : 17 Avr 2012 18:20 
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Salluste
Salluste

Inscription : 20 Déc 2010 21:48
Message(s) : 225
En définissant la géopolitique comme l'étude spatiale des rivalités (définition basique) et leurs aspects géographiques et politiques, la musique classique ne me semble pas être un instrument de ces rivalités. Wagner est réutilisé pour exalter le mythe national, non pour diviser.
On pourrait par contre interroger l'utilisation de la torture musicale dans les guerres (Vietnam, Irak) afin de persécuter l'esprit des prisonniers. Dans ce cas, la musique (souvent du hard-rock, ce qui est éprouvant pour quelqu'un dont l'espace sonore n'est pas accoutumé de ce genre de sons) devient un instrument géopolitique qui participe directement des rivalités.


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Message Publié : 17 Avr 2012 18:32 
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Jean Mabillon
Jean Mabillon

Inscription : 04 Juin 2006 12:47
Message(s) : 2720
Localisation : Centre
La musique classique, comme toute manifestation culturelle, a été fréquemment enrégimentée au service de la politique.
Un exemple est l'utilisation de la musique allemande pour faire de la propagande en faveur de l'Etat nazi durant l'Occupation et inciter les élites françaises et les bourgeois cultivés à collaborer.
L'Institut allemand organisa 61 concerts d'orchestres allemands dans toute la France rien qu'entre mai 42 et juillet 43; le Philarmonique de Berlin en particulier, dirigé successivement par Hans Knappertbusch, Eugen Jochum et Klemens Krauss , fut très sollicité.
En juin 43, il joua les neuf symphonies de Beethoven dans une salle de 3 500 places au palais de Chaillot, pleine à chaque fois paraît-il.
Un autre concert du Philarmonique, dirigé par Krauss à Lyon en mai 42, s'acheva toutefois en manifestation patriotique lorsque des milliers de personnes se rassemblèrent devant la salle Rameau et entonnèrent la Marseillaise.
Les autres orchestres allemands connus qui tournèrent dans la France occupée furent le Berliner Kammerorchester, qui organisa un festival Mozart, le Choeur d'enfants de Vienne, le Choeur de Ratisbonne qui se produisit à Notre Dame de Paris, et même l'orchestre de la Luftwaffe.
Mais bien sûr, le musicien allemand le plus joué en France en 40/44 fut Richard Wagner, avec 54 représentations à l'Opéra de Paris (La Walkyrie, L'Or du Rhin, Le Vaisseau fantôme).
Le Deutsche Opernhaus de Berlin présenta Elisabeth Schwarzkopf dans "La Chauve-souris", de Johann Strauss, Franz Lehar lui-même vint de Vienne pour diriger son opérette "Le pays du sourire" à la Gaité Lyrique, et dirigea aussi un concert des orchestres allemands de l'armée de terre, air et Marine.
Le jeune chef d'orchestre Herbert von Karajan , membre du parti nazi depuis 33, directeur du Berlin Staatsoper et de son orchestre, dirigea "L'enlèvement au sérail" (de Mozart) à l'Opéra de Paris ainsi que "Tristan et Isolde" avec la soprano française Germaine Lubin (qui chanta Wagner en Allemagne en présence d'Hitler et lui fut présentée) et le ténor allemand Max Lorenz.
Ces concerts étaient souvent de la plus haute qualité et furent sans doute une arme non négligeable pour convaincre les Français cultivés (au moins au début), de la grandeur de la culture allemande et de la place importante qu'y tenaient les artistes sous le nazisme.

Source: "And the Show Went On", Alan Riding.


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Message Publié : 17 Avr 2012 20:18 
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Eginhard
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Inscription : 04 Juin 2008 20:24
Message(s) : 749
Wagner n'est pas un missile ni Prokoviev une région pétrolifère, nous sommes bien d'accord. Mais si la géopolitique porte sur les rivalités, affrontements en vue d'un territoire, la musique du XXe s appartient, sur un mode mineur, certes, à ces rivalités. Pour rebondir sur l'intervention de Tonnerre, il y a bien un paysage sonore à occuper pendant la guerre, faire entendre en France la musique de l'adversaire. Le Philarmonique de Berlin ne peut évidemment pas être comparé à une armée d'occupation mais il y a bien "une rivalité d'influence" sur les populations pour citer la définition de wikipedia. Même chose pour le concours Bach de 1950 que j'évoque plus haut. Si on estime qu'il s'agit d'un conflit idéologique où toutes les forces sont mobilisées, il n'est pas étonnant que la musique soit convoquée. Et pourtant, la musique instrumentale peut difficilement être instrumentalisée lol , apparemment : elle ne délivre pas un message univoque, comme la littérature ou la peinture figurative. On peut même penser que les nazis ont utilisé Mozart et Beethoven à rebours du message que porte leur musique. C'est ce qui me semble ici intéressant.
Pour prolonger la réflexion, est-ce que cette utilisation comme manifestation de la puissance ou de l'identité n'est pas plus ancienne que le XXe s ? Sans remonter aux Te Deum célébrant les victoires royales, je pense au mouvement des nationalités au XIXe s. La célébration d'une musique d'origine populaire (Dvorak, Chopin) constitue un moyen d'affirmer un peuple sans Etat. Verdi, par le choeur de Nabucco, a été un symbole pour le ralliement des patriotes italiens contre les Autrichiens (Viva Verdi). Enfin, de manière tout à fait prosaïque, je rappelle que chaque Etat a un drapeau et un hymne national.
Bref, je ne trouve pas du tout indu l'idée d'affirmer que la musique classique (y compris à son corps défendant) est un instrument pour affirmer la puissance ou l'identité d'une nation face aux autres (j'essaye de faire l'économie du mot géopolitique qui est un casus belli...), avec évidemment un moment privilégié durant les grands affrontements idéologiques du XXe s.
Il y a enfin l'aspect plus agréable, celui de la musique qui rapproche les peuples, si on s'éloigne de la définition allemande de la géopolitique. Un exemple récent avec le philarmonique de NY en Corée du Nord ou le concert commun entre l'orchestre de la Corée du Nord et le Philar' le 14 mars 2012
Citer :
« Seule la musique a le pouvoir de jeter un pont entre les nations », nous dit Myung-Whun Chung. Le Maestro, à la tête de l’Orchestre Philharmonique de Radio France est originaire de Séoul, en Corée du Sud et depuis longtemps déjà, il cherche à favoriser les échanges entre la Corée du Nord. Convaincu que la paix, la détente et la compréhension mutuelle ne peuvent passer que par un langage commun, universel : la musique.

Bon tout cela n'a pas empêché les Coréens d'envoyer une fusée qq semaines plus tard :mrgreen:

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Message Publié : 17 Avr 2012 21:23 
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Georges Duby
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Inscription : 27 Juil 2007 15:02
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Localisation : Montrouge
On doit pouvoir résumer le débat en rappelant la langue d' Esope, elle était la meilleure et la pire des choses. Langue de la vérité, de la raison, de la prière, des liens entre les hommes mais aussi langue du mensonge, des disputes.
Il en est ainsi de la musique, qui sert à faire marcher au pas ou à monter au combat avec fifres et tambours, comme à "adoucir les moeurs", à rapprocher la victime et le bourreau dans le film le pianiste ou comme Rostropovitch à jouer du violoncelle lors de la chute du mur de Berlin, prélude à la réunification allemande. Il y a aussi la 7è symphonie de Chostakovitch qui réussit à faire tenir les habitants de Léningrad pendant le siège terrible de la ville de 1942.
On connait le fameux " quand j'entends trop de Wagner, j'ai envie d'envahir la Pologne" de Woody Allen, au second degré.

_________________
Heureux celui qui a pu pénétrer les causes secrètes des choses. Virgile.


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