Talweg est un mot de topographie qui est très utilisé en météorologie. C'est l'équivalent d'un creux barométrique. http://fr.wikipedia.org/wiki/Creux_barom%C3%A9trique Et quand on voit une courbe de pression d'un creux barométrique on comprend bien pourquoi on a choisi ce terme. Accésoirement, çà donne des tempêtes mémorables.

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Une théorie n'est scientifique que si elle est réfutable.
Appelez-moi Charlie

Les passages sur les Autrichiens et les Prussiens me laissent dubitatif.
En revanche, celui concernant les Russes n’est pas sans rappeler le célèbre diction (ou ses variantes) déjà évoqué sur ce fil : " Il ne suffit pas de tuer un Russe, il faut encore le pousser pour qu'il tombe » ; ou encore ce passage des Mémoires de Thiébault :
« On nous avait prévenus que les Russes, blessés fût-ce au point de ne pouvoir plus marcher, reprenaient leurs armes après qu'on les avait dépassés, les rechargeaient et mettaient ceux qui les avaient vaincus entre deux feux »

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" Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)

J'ai oublié l'identité du rigolo qui a proféré : La balle est folle, la baïonnette est sage.

Il me semblait que c'était un Français à la veille de la Grande Guerre mais, sur le Net, on l'attribue au général Alexandre Souvorov (1730-1800).
Vu les performances des fusils de l'époque, il est compréhensible que le bonhomme misait plus sur le choc que sur le tir...

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“La barbarie est l'état naturel de l'humanité, [...]. La civilisation n'est pas naturelle. Elle résulte simplement d'un concours de circonstances. Et la barbarie finira toujours par triompher.” ― Robert E. Howard

Je l'ai vu plutôt traduit "la baïonnette est une gaillarde". "Baïonnette", "chtyk", est masculin en russe.

Donc, si la citation originale était en russe, le sens en aurait été changé suite à une traduction approximative ?

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“La barbarie est l'état naturel de l'humanité, [...]. La civilisation n'est pas naturelle. Elle résulte simplement d'un concours de circonstances. Et la barbarie finira toujours par triompher.” ― Robert E. Howard

Il semble bien. Il faudrait une étude approfondie des sens possible des mots utilisés. Cela en vaut-il la peine ?

ça me rappelle cette réflexion de Napoléon. A un de ses collaborateurs qui dit devant lui :"L'Autriche est une puissance finie" (ou quelque chose dans le genre) il rétorque :"on voit bien que vous n'étiez pas à Wagram."

Mégalo autant qu'on voudra, Napoléon pour autant n'a jamais méprisé ses adversaires. Je doute qu'il ait souscrit à ces affirmations sur les soldats prussiens et autrichiens.

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Les raisonnables ont duré, les passionnés ont vécu. (Chamfort)

Ca se discute. Au matin de Waterloo, à Soult qui lui faisait remarquer que la position anglaise était très solide et qu'il vaudrait mieux manoeuvrer qu'attaquer de face, il a répondu : "Vous dites cela parce que Wellesley [futur Wellington] vous a battu. Je vous dit que les Anglais sont de mauvais soldats et que Wellesley est un mauvais général" (de mémoire d'après Houssaye). C'est aussi un aphorisme... malvenu.

Peut-être pas... Mais ça valait la peine d'être signalé, à mon avis.


Faut avouer : ce jour-là, il n'était pas en très grande forme.

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Ou suite à 1 siècle d'amélioration des armes à feu. Au XVIIIème siècle, on avait du mal à avoir des tuyau et des balles parfaitement calibrées, sans parler des variations des capacités des poudres .... Donc, il y avait des comportements erratiques. Au cours du XIXème siècle, les capacités d'usinage s'améliorant, on maîtrise mieux le "vent du boulet" ou de la balle. De plus, les connaissances en chimie évoluent. On apprend à faire des poudres plus uniformes. Tout cela améliore grandement l'efficacité des armes. Au début du XIXème siècle, on peut combattre debout face à une ligne de fusiliers qui tirent à 50m. En 1914 on découvrira que le feu tue ... très efficacement et qu'il vaut mieux rester à l'abri.

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Une théorie n'est scientifique que si elle est réfutable.
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Les insurgés du Tyrol : "ces ours des montagnes" (Bulletin du 24 mai 1809)

« Le peuple d'Espagne est vil et lâche »
(Napoléon à Joseph, 9 septembre 1808)

« Nous avons été continuellement harcelés par des nuées d’Arabes, qui sont les plus grands voleurs et les plus grands scélérats de la terre»
(Bonaparte au Directoire exécutif, 24 juillet 1798)

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" Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)

Certes, mais au moins pour les deux premiers, il s'agit d'irréguliers, détestés de tous temps par les militaires en uniforme.

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Les raisonnables ont duré, les passionnés ont vécu. (Chamfort)

Vous pouvez y ajouter les troisièmes.

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" Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)

Je crois que les Américains s'en étaient très bien rendu compte au cours de la Guerre de Sécession, et les Français au cours de 1870...
Au cours du 19e siècle, le développement de certaines techniques avait transformé le fusil en une arme extrêmement fiable et efficace.
Mais on ne sait jamais, certains généraux, à la veille de la Grande Guerre rêvaient peut-être encore de charges héroïques à la baïonnette... Face aux mitrailleuses, on sait que le réveil a été pénible.

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“La barbarie est l'état naturel de l'humanité, [...]. La civilisation n'est pas naturelle. Elle résulte simplement d'un concours de circonstances. Et la barbarie finira toujours par triompher.” ― Robert E. Howard

à vérifier pour la source (Trivulce au 16ème siècle ? )
Français, plus que hommes au venir, moins que femmes en retraite

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… il pleuvait, en cette Nuit de Noël 1914, où les Rois Mages apportaient des Minenwerfer…