En quoi consiste un officier surnuméraire, au XVIII° siècle ?
Dans un livre à propos d'un garde du corps surnuméraire, on écrit: " ce n'était pas le pactole, mais cette fonction purement honorifique laissait beaucoup de temps libre à son titulaire".

Par ailleurs, on lit souvent que les officiers servaient par quartier. Etait-ce la règle générale dans tous les régiments, à tous les grades ? j'imagine que cela ne concernait que les temps de paix?

Je ne peux que vaguement vous aider.
officier surnuméraire signifie forcément que l'officier est disonible au dessus des dotation normale de l'unité . De là cela signifie que l'officier est présent sur le tableua des effectifs du régiment généraleemùnt en doublure d'un officier de grade et de fonction equivalente. De là le fait que l'officier dispose de temps libre puisque sa fonction est déjà occupée et que ce dernier ne soit pas rémunéré a même hauteur que l'officier en titre et compte tenu du mode de soldes des troupes d'ancien régime...

Concernant le quart cela désigne ordianirement a mon esprit le service de permanence qui existe dans tout coprs de troupe. Ce quart consistait sans doute en une unité désignée a tour de role pour effectuer la permanence des fonction de base vitale du corps( garde et service du régiment).
Ainsi en fonction des epoque le service des officiers s'etendait sans doute a tout ou parties des activité du coprs pour la permanence du commandement en dehors des heures du service ordianaire.
Cependant quelle était la durée d'un quart? Dans la marine un quart equivaut a 4h00.

Leonardo

Concernant le quartier, je pense à un trimestre. J'ai lu quelque part que les officiers de l'ancien régime passaient leur temps sur les routes à rejoindre leur régiment, parce qu'ils avaient pas mal de temps libre. Par exemple les valets de chambre du roi servaient par quartier, donc chacun un trimestre. Mais était-ce généralisé pour l'armée?