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Message Publié : 13 Fév 2009 19:43 
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Hérodote
Hérodote

Inscription : 13 Fév 2009 19:05
Message(s) : 2
Bonjour, je viens de passer quelques heures à flâner sur ce forum.
Au début, je venais dans un but de recherche bien précis, puis je me suis laissé aller a cliquer sur tout ce qui paraissait curieux. Un long moment après, je décide de m'inscrire car si j'ai trouvé des choses passionnantes, je n'ai pas trouvées toutes celles qui m'ont fait venir ici.

Je cherche des informations assez précises sur certains objets et moeurs de la fin du 17ème et du début du 18ème siècle. Je n'ai pas trouvé ce que je cherchais après plusieurs recherches ; j'imagine néanmoins qu'il doit exister des réponses sur le net ou sur ce forum même, alors si c'est le cas, excusez-moi d'avance. Voici mes questions:

1) De nombreux textes et images traitent des coiffures communes ou en vogue à l'époque (notamment http://www.costumes.org). Cependant, j'ai du mal a trouver des informations sur les modes capilaires de la fin du 17ème (dans les hauts niveaux de la société). De plus, j'aimerais savoir si, dans une soirée "huppée" de l'époque, l'absence de perruque était véritablement vue comme une honte ou si c'était juste une coquetterie non-indispensable? Qu'en était-il des hommes possédant des cheveux naturellement longs et bouclés, ou beaux d'une manière générale : portaient-ils tout de même la perruque?

2) J'ai trouvé sur ce forum quelques infos concernant les parfums et eaux de toilette. L'apparition en france de l'eau de Cologne semble dater de 1732 environ. Et avant cela? Se parfumait-on de quelque manière? (sans rentrer dans les détails, vous pouvez le voir comme question fermée ;) )

3) L'éclairage : s'il y a quelque chose de vraiment flou, c'est l'éclairage.
L'éclairage public d'abord : quand le gaz est-il venu (s'il est venu partout?). S'il ne se faisait pas au gaz, comment était l'éclairage public en france dans les grandes villes, à l'époque dont il est ici question?
L'éclairage dans les maisons : Les lustres et chandeliers étaient-ils vraiment monnaie courante chez les gens aisés? Chez les gens pauvres, trouvait-on plutôt des lampes à huile, des bougies, des chandelles, des feux de cheminée uniquement?

4) Les outils d'écriture : les crayons tels que nous les connaissons n'existaient pas, j'imagine? Quels étaient les moyenx alternatifs à la plume? D'ailleurs cette dernière était-elle encore sous sa version "brute" (plume de volaille quelconque), ou déjà plus ressemblante aux plumes modernes? Le papier, quant à lui, était-il à la portée des pauvres (en imagineant qu'ils eussent été capables d'écrire) ou était-il un luxe?

5) Les repas : alors là, on trouve de tout et de rien sur le net. Pour faire bref, y'avait-il déjà le schéma petit-déjeuner/déjeuner/repas du soir comme de nos jours, ou étais-ce différent? (si oui, y'avait il une différence dans la fréquence des repas entre riches et moins riches?) La classe moyenne-basse pouvait elle souvent manger de la viande, ou la soupe composait-elle réellement le 3/4 des repas?

6) L'église (concernant les basses classes sociales) : était-il obligatoire d'aller à la messe chaque dimanche durant cette période? si non, étais-ce trèèès mal vu, ou au contraire les gens s'en moquaient-ils passablement?

7) Les habits des gens modestes étaient-ils parfois de couleurs telles que le bleu, le rouge, le jaune (bref les couleurs pas forçément faciles à obtenir), oubien n'avaient-ils droit qu'au brun-noir habituel?

Voilà, je sais que ça fait beaucoup de questions pour un message, mais la moindre réponse sur n'importe laquelle me serait d'une grande aide.
Merci beaucoup d'avance!


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Message Publié : 13 Fév 2009 20:07 
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Eginhard
Eginhard

Inscription : 25 Mai 2004 21:35
Message(s) : 806
Localisation : Paris
Milune a écrit :
5) Les repas : alors là, on trouve de tout et de rien sur le net. Pour faire bref, y'avait-il déjà le schéma petit-déjeuner/déjeuner/repas du soir comme de nos jours, ou étais-ce différent? (si oui, y'avait il une différence dans la fréquence des repas entre riches et moins riches?) La classe moyenne-basse pouvait elle souvent manger de la viande, ou la soupe composait-elle réellement le 3/4 des repas?

Cela dépend de ce qu'on appelle la classe moyenne-basse et de ce qu'on appelle la viande :P
Pour la grande majorité des gens, la seule viande à laquelle on peut accéder assez souvent, c'est le porc. Le boeuf, l'agneau, etc sont réservés aux élites. Mais qu'est-ce, selon vous, que la classe moyenne-basse?

Citer :
6) L'église (concernant les basses classes sociales) : était-il obligatoire d'aller à la messe chaque dimanche durant cette période? si non, étais-ce trèèès mal vu, ou au contraire les gens s'en moquaient-ils passablement?

Je pense que la chose est différente selon qu'on est à la campagne ou en ville. Dans un village, si vous n'allez pas à la messe, cela se voit très vite et c'est très mal vu. En ville, concernant les populations errantes, marginales (qui sont très nombreuses), j'imagine qu'il est plus difficile de savoir qui est allé ou pas à la messe.
Et puis, ça dépend aussi des régions et de l'époque. A la fin du XVIIIe siècle, on observe un léger détachement religieux, de la part des hommes, dans certaines régions : Bassin Parisien, Normandie, peut-être aussi Provence. Mais je crois que la fréquentation dominicale de la messe reste un impératif social important.


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Message Publié : 13 Fév 2009 20:37 
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Jean Froissart
Jean Froissart
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Inscription : 28 Avr 2006 23:02
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Localisation : Orne
4) Les outils d'écriture.
On écrivait avec des plumes d'oie depuis l'antiquité jusqu'au 20e siècle.
Le papier était fait avec des chiffons. Donc un mètre carré devait coûter deux ou trois fois son poids en chiffons. On trouvait des livres coûtant quelques sous, donc le papier n'était pas très cher, mais on l'économisait. On écrivait petit, serré, et dans les marges. Le taux d'alphabétisation en France était assez élevé, car il y avait beaucoup d'écoles.

6) L'église
Presque tout le monde y allait. Quand on regarde des anciens plans de ville, on est surpris par le grand nombre d'églises. Elles étaient ouvertes en permanence. A l'intérieur, les gens se tenaient debout, sauf quelques privilégiés et quelques handicapés. En plus de l'aspect religieux, c'était un plaisir d'assister à un spectacle, de se montrer en habits du dimanche, de prendre des nouvelles de la famille, des amis, des voisins. Le prêtre ne se cantonnait pas qu'à des sujets religieux. Il donnait aussi des informations sur l'actualité. En dehors de la messe, il y avait les baptêmes, les mariages, les enterrements, les processions, toutes les fêtes religieuses.

7) Les vêtements
Les vêtements étaient colorés comme on peut le voir sur les tableaux. Tout était coloré. Le noir était la couleur du deuil. Cependant certains habits étaient noirs mais avec des collerettes blanches, ou des boutons dorés, ou des rubans de couleur. La mode de la grisaille n'est apparu qu'à la fin du 20e siècle.


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Message Publié : 13 Fév 2009 22:39 
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Pierre de L'Estoile
Pierre de L'Estoile
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Inscription : 27 Avr 2008 14:42
Message(s) : 2320
Il est difficile de répondre pour les deux siècles en même temps. Les modes cela évolue très vite. Pour les classes aisées les mœurs ont pas mal changé entre les deux siècles. Par exemple au XVIIIe l'hygiène progresse. Je pense que quelques hardis jeunes seigneurs de 18e siècle font un catogan à leurs propres cheveux, au XVIIe c'est impensable, on ne sort jamais sans perruque.

_________________
Alceste

Que les petites différences entre les vêtements qui couvrent nos débiles corps, entre tous nos langages insuffisants... ne soient pas des signaux de haine et de persécution...

La prière de Voltaire, Traité sur la tolérance, Chapitre XXIII


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Message Publié : 13 Fév 2009 22:47 
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Fustel de Coulanges
Fustel de Coulanges

Inscription : 09 Août 2005 17:34
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Localisation : Marseille
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6) L'église
Presque tout le monde y allait.

... et pas seulement le dimanche! Cf. la fable de La Fontaine Le savetier et le financier :
"On nous ruine en fêtes et Monsieur le Curé de quelque nouveau saint charge toujours son prône".

_________________
"Le doute est le premier pas vers la conviction" (al-Ghazali, mort en 1111).


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Message Publié : 14 Fév 2009 0:03 
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Eginhard
Eginhard

Inscription : 21 Déc 2008 11:01
Message(s) : 759
Voila un sujet interessant et une vraie interrogation sur l'enseignement de l'Histoire qui ne traite jamais assez de la vie quotidienne . Surtout sur cette période , fin XVIIe - XVIIIe où l'on a tout focalisé sur la vie des quelques milliers de français vivant à Versailles et où l'on sait peu de choses sur les autres français , soit 15 à 20 millions de personnes .
Pendant trés longtemps , y compris au XVIIIe siecle les gens ont pratiqué spontanement une religion par peur de l'enfer ou même par peur d'un Dieu qui ne vous protégerait pas de la maladie,des accidents...) .
Il ne faut oublier non plus qu' à cette époque l'état n'est pas laïque et que l'église ( en tant que batiment ) sert aussi de mairie , d'école et de salle de réunion . Comme le dit Gregoire de Tour , la pratique religieuse crée du lien social avec une relative égalité entre les personnes .
( j'ai une question à ce sujet : Les églises ou les cathedrales n'avaient pas de places assises à leurs origines , elles pouvaient ainsi servir de refuge pour la nuit aux pélerins ou mêmes aux pauvres . J'attribue , à la periode dite des temps modernes l'installation des bancs et d'une hierarchie sociale à l'interieur de l'église avec des places réservées à la noblesse ou à la bourgeoisie , vrai ou faux ? ) .
Pour l'alimentation , c'est 50 à 80 % de pain , pour une raison simple : les céréales sèches blé, seigle , sarrazin .... constituent l'aliment le plus facile à conserver et à transporter tout au long de l'année , avec quelques légumes secs comme les fèves car il n'y a pas encore la présence de la pomme de terre . Seul le sel permet de conserver la viande , le poisson , ou certains légumes (choux...) , mais celui coute cher . Pain , de qualité trés variable suivant celle des céréales , plus soupe de légumes ou bouillies de légumes secs avec parfois de la viande ( porc ,volaille ) ou du poisson pendant le carème constitue le repas des français de 1700 .


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Message Publié : 14 Fév 2009 0:44 
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Hérodote
Hérodote

Inscription : 13 Fév 2009 19:05
Message(s) : 2
Merci infiniment pour vos réponses qui m'aident réellement beaucoup! En 10ans d'internet j'ai rarement vu de forum où l'on n'obtient pas que des "cherche un peu sur google" en guise d'aiguillage...

Helios a écrit :
Mais qu'est-ce, selon vous, que la classe moyenne-basse?

C'est vrai que c'est un peu vague... J'entend par là les personnes qui gagnent assez d'argent pour se vêtir, se loger et manger "convenablement", mais qui ne peuvent rien se permettre de superflu.

Pour les questions 2) et 3) je vais continuer à chercher et je viendrai poster ici mes réponses (si j'en trouve :rool: )!


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Message Publié : 14 Fév 2009 11:37 
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Hérodote
Hérodote

Inscription : 24 Jan 2009 12:48
Message(s) : 12
Localisation : Bourgogne
Concernant la perruque, elle était portée par tous, toutes catégories socioprofessionnelles confondues. Porter la perruque était à la mode au XVIIIe siècle. Cependant, c'était également un cache misère. En effet, l'hygiène étant ce qu'elle est à cette période, les cheveux naturels peu entretenus étaient généralement en mauvais état. La perruque permettait donc de les couvrir.

Pour rester dans la mode, évoquons les coloris des vêtements. Les noirs, bruns, gris étaient monnaie courante au XVIIIe siècle. Le noir, bien que couleur du deuil, était fortement porté. Les couleurs sombres sont portées par la majorité des hommes et femmes (et surtout chez les hommes, les vêtements des femmes ayant tendance à être plus colorés au fil du siècle). Les catégories socioprofessionnelles les plus basses portaient des couleurs telles que le bleu ou le rouge, le vert ou le jaune, mais en très petite proportion par rapport aux couleurs sombres. Mais cette tendance se vérifie également tout au long du XVIIIe siècle chez les hommes au rang social plus élevé. Chez les femmes de tous rangs, les couleurs sombres sont majoritairement portées au début du XVIIIe siècle. Leurs vêtements prennent de la couleur au cours du siècle (et cela concerne toutes les femmes sans exception) avec l'apparition des indiennes (coton imprimé coloré) et prennent alors le pas sur les couleurs sombres, qui demeurent malgré tout en proportion importante dans leurs armoires. Les catégories socioprofessionnelles les plus basses ne sont donc pas cantonnées au port des habits sombres, bien que les couleurs soient un peu moins présentes dans leurs armoires que dans celles des catégories socioprofessionnelles plus aisées.

Pour ce qui est de l'éclairage public. Il apparaît tardivement (fin XVIIIe siècle) dans certaines villes comme Dijon ou Auxerre. A Auxerre, par exemple, à la toute fin du XVIIIe siècle, le seul éclairage public existant se trouvait devant l'hôtel de ville. Le reste des rues était encore dans le noir.
Concernant l'éclairage des maisons, les chandeliers étaient fortement utilisés au XVIIIe siècle, quelques soient les catégories socioprofessionnelles. En revanche, c'est le nombre de chandeliers par pièce qui change en fonction du rang social (et aussi le matériau utilisé, du simple bois au cuivre). Plus nous montons dans la hiérarchie sociale, plus le nombre de chandeliers par pièce est élevé. Chez les plus aisés nous trouvons généralement un chandelier par pièce, ce qui leur permet d'éviter de faire des allers et retours continuels entre les pièces, chandelier à la main.
Pour ce qui est des lustres (autrement appelés chandeliers de cristal au XVIIIe siècle), ils ne se trouvent que dans les intérieurs des plus riches. C'est également le cas pour les lampes à huile, les bougeoirs ou les lanternes.
Les chandeliers, la lumière produite par le feu de cheminée et la lumière naturelle (provenant des ouvertures) sont les principaux moyens d'éclairage pour les catégories socioprofessionnelles les plus basses au XVIIIe siècle.


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Message Publié : 19 Avr 2009 11:37 
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Eginhard
Eginhard

Inscription : 21 Déc 2008 11:01
Message(s) : 759
question de milune :
"J'ai trouvé sur ce forum quelques infos concernant les parfums et eaux de toilette. L'apparition en france de l'eau de Cologne semble dater de 1732 environ. Et avant cela? Se parfumait-on de quelque manière? (sans rentrer dans les détails, vous pouvez le voir comme question fermée )"

Je croyais que l'eau de cologne datait du 17è siècle . C'est bien connu que le manque d'hygiène , en particulier dans la haute sociéte de Versailles ,necessite l'usage du parfum en quantité industrielle pour masquer toutes les odeurs de puanteur .


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Message Publié : 19 Avr 2009 17:57 
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Jean Froissart
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Inscription : 28 Avr 2006 23:02
Message(s) : 1397
Localisation : Orne
A propos de l'hygiène, voir d'autres topics de ce forum, par exemple viewtopic.php?f=78&t=18010&p=233128&hilit=versailles#p233128.
Le manque d'hygiène à Versailles est un cliché qui est né d'un ou deux récits disant que l'on a vu des excréments derrière une porte. Mais il y a des milliers d'autres récits sur Versailles qui ne parlent pas de manque d'hygiène, qui ne disent pas que l'on se parfumerait énormément, que l'air y aurait été irrespirable sans les parfums, etc. Bien sûr, il serait abusif de dire que tout était propre, mais il ne faut pas non plus exagérer dans l'autre sens et reprendre des vieilles légendes qui ont été démenties depuis longtemps.

De nos jours, il existent de nombreuses maisons dans les pays pauvres où l'on n'a pas l'eau courante et où, pourtant, les odeurs ne sont pas si terribles qu'elles devraient être nécessairement masquées par des quantité industrielles d'eau de Cologne.

Les parfums existent depuis l'antiquité et même avant sans doute, puisqu'il vient des fleurs qui font exprès d'émettre des odeurs agréables (et d'avoir de belles couleurs) pour attirer les insectes pollinisateurs. A la fn du moyen-âge des médecins ont trouvé qu'il étaient intéressant de se protéger des épidémies en utilisant des masques ayant un long nez qu'il remplissaient de plantes aromatiques. Ces masques existent encore pour le carnaval de Venise.


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Message Publié : 19 Avr 2009 18:17 
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Fustel de Coulanges
Fustel de Coulanges

Inscription : 09 Août 2005 17:34
Message(s) : 3661
Localisation : Marseille
Le pommeau de certaines "massettes" (petites baguettes dont se servent les tambourinaïres pour frapper leur tambourin, tout en jouant du galoubet) peut contenir une petite éponge imbibée de parfum que l'on hume à l'occasion...

_________________
"Le doute est le premier pas vers la conviction" (al-Ghazali, mort en 1111).


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Message Publié : 19 Avr 2009 18:23 
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Eginhard
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Inscription : 21 Nov 2008 17:01
Message(s) : 782
Localisation : Nevers
2 ) les eaux de toilette et le parfum.

Ce n'est certes pas de l'histoire, mais le roman de Patrick Süskind, le Parfum, histoire d'un meutrier situe son intrigue entre 1738 et 1767. Quelle part d'historicité dans cette oeuvre de fiction ?

_________________
Heureux ceux qui savent rire d'eux-mêmes, ils n'ont pas fini de rigoler !


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