Une tradition bien française, mais difficile à gérer selon les différences régionales et familiales...

Une petite carte pour nous aider un peu:

http://combiendebises.free.fr/

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"[Il] conpissa tous mes louviaus"

"Les bijoux du tanuki se balancent
Pourtant il n'y a pas le moindre vent."

Trop fort !

Oui, mais dans quel sens maintenant (on commence par la droite ou par la gauche) ? C'est pas toujours facile pour quelqu'un du Nord de faire la bise à quelqu'un du sud. La diversité des sens entraîne parfois d'autres quiproquos.

C'est tout à fait juste. Ma belle-famille fait 2 bises, comme moi et pourtant le fait qu'ils le fassent dans le mauvais sens est toujours destabilisant

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"[Il] conpissa tous mes louviaus"

"Les bijoux du tanuki se balancent
Pourtant il n'y a pas le moindre vent."

On voit l'expert

Sinon c'est amusant de voir que les transitions au niveau départementales sont assez brusques (de 4 à 2 direct dans le nord ! Voire même à 1 pour les Deux-Sèvres...).

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« Il me paraît essentiel qu'il y ait des gueux ignorants. Si vous faisiez valoir comme moi une terre et si vous aviez des charrues, vous seriez bien de mon avis ; ce n'est pas le manœuvre qu'il faut instruire, c'est le bon bourgeois. »
Voltaire, 1766.

Le nombre de bises varie aussi selon le degré d'intimité, et ce qui est étonnant, c'est qu'il lui est inversement proportionnel: pour ne faire qu'une bise, il faut être vraiment proche; par contre 4 indiquent plus de distance.

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Tous les désespoirs sont permis

Je ne suis pas vraiment sûr qu'il s'agisse de tradition. Cela s'est répandu, à partir de coutumes paysannes, seulement dans les années soixante. Vers 1950, c'était impensable sauf en cas de rencontres familiales.

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"L'histoire serait une chose merveilleuse si seulement elle était vraie."
Léon Tolstoï.

Ah bon? Il faudrait que je demande à mon père. Ceci dit, peut-on dire qu'une coutume qui a une cinquantaine d'année n'est pas une "tradition"?

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"[Il] conpissa tous mes louviaus"

"Les bijoux du tanuki se balancent
Pourtant il n'y a pas le moindre vent."

Dans certains milieux parisiens du spectacle, de la presse et de la politique par exemple, la bise est obligatoire. Elle vaut reconnaissance qu'on est bien membre reconnu du milieu concerné.

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Heureux celui qui a pu pénétrer les causes secrètes des choses. Virgile.

Il n'y a pas que dans le milieu du spectacle que la bise est obligatoire.

Les hommes ne peuvent pratiquement pas y échapper dans certains endroits du sud de la France, dès qu'ils se rencontrent au bistrot ou au PMU : hop, ils ne se serrent pas la main, ils se font la bise et en plus 3 ...
pour les nouveaux arrivés, c'est un peu déstabilisant

je me demande si ce n'est pas une pratique uniquement française. Quand ma fille était au lycée, elle avait des condisciples étrangères (anglo-saxonnes et allemandes). Celles ci avaient été stupéfaites de cette pratique, la bise ne se faisant qu'à leur boy-friend.

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C'est l'ambition qui perd les hommes. Si Napoléon était resté officier d'artillerie, il serait encore sur le trône.

Mr Prudhomme

C'est ce que je pense aussi! Et encore, les anglo-saxons ne sont pas les pires; essayez de claquer deux bises à un asiatique, je vous souhaite bien du plaisir!

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"[Il] conpissa tous mes louviaus"

"Les bijoux du tanuki se balancent
Pourtant il n'y a pas le moindre vent."

La bise serait donc latine, voire méditerranéenne ? Mais les russes s'embrassent aussi!

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Heureux celui qui a pu pénétrer les causes secrètes des choses. Virgile.

oui ! mais il ne s'agit plus d'une bise Plutôt d'un patin

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C'est l'ambition qui perd les hommes. Si Napoléon était resté officier d'artillerie, il serait encore sur le trône.

Mr Prudhomme

Je pose une question qui se veut honnête. Il me semble que jusqu'il y a 30 ou 40 ans, la bise en France était réservée aux membres de la famille ou aux petit(e)s ami(e)s, très rarement entre deux amies femmes. La mode actuelle -à laquelle je me suis plié sans difficulté- me semble donc vraiment récente. Entre hommes, je ne l'ai pas encore vu : le Sud-Ouest, peut-être sous l'influence espagnole, connaissait parfois el abrazo, avec la tappe dans l'épaule.

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" Je n'oublie pas le Colonel Arnaud Beltrame "

Je ne sais pas ! Moi j'ai connu uniquement les écoles et collèges unisexes Filles et garçons séparés.

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C'est l'ambition qui perd les hommes. Si Napoléon était resté officier d'artillerie, il serait encore sur le trône.

Mr Prudhomme