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Message Publié : 28 Août 2006 14:41 
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Salluste
Salluste
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Inscription : 22 Juil 2006 18:03
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Localisation : Cahors
En Espagne, au moyen-âge, les jeunes hommes de bonne famille fréquentais l "amiga"`avant de se marier. Et cela, afin de satisfaire leur besoin sexuel. Celle-ci était souvent la domestique de la famille.

Lorsque le jeune homme se mariait, celui-ci pouvait la doter.

A noter qu`aprés le mariage, le seul endroit oû les deux personnes pouvaient se trouver sous le même toit était lÉglise.

Cordialement.SAALFELD


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Message Publié : 30 Août 2006 9:15 
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Hérodote
Hérodote

Inscription : 30 Août 2006 7:47
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Localisation : PARIS
LA prostitution est liée intimement à l'existence humaine, ce rapport qui doit exister entre deux personnes pour assouvir des désirs naturels a été réglementé de maintes facons au cous de l'histoire, le mariage est une de ces formes d'organisations de vie entre hommes et femmes qui génerent une reproduction nécessaire à la perrenité de l'espéce, en dehors de ce cadre il y avait l a prostitution afin d'assouvir son désir momentané et la libérté de changer de partenaires à sa guise en faisant un paiement exigé !!

Cette pratique a tout le temps existée malgré sa comdanation par les réligions, c'est comme le vol en face de la propriété !!

_________________
On meurt toujours ignorant de soi !


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 Sujet du message : histoire de la prostitution
Message Publié : 19 Sep 2006 21:02 
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Thucydide
Thucydide
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Inscription : 13 Sep 2006 22:48
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Dans les societes germaniques, le mariage permet d'apaiser les tensions entre les clans.
afin de ne pas insulter leur épouse ,mais surtout leur belle- famille ,les hommes évitent les "mauvaises" fréquentations .Enfin presque : ils ont aussi des concubines.
les vinkings lors des invasions nomandes méprisent l'amour tarifé, ils obligent meme les prostituées à se marier.


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 Sujet du message : Re: histoire de la prostitution
Message Publié : 20 Sep 2006 18:57 
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Marc Bloch
Marc Bloch
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Inscription : 09 Août 2006 6:30
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Localisation : Allemagne
fanifa a écrit :
Dans les societes germaniques, le mariage permet d'apaiser les tensions entre les clans.
afin de ne pas insulter leur épouse ,mais surtout leur belle- famille ,les hommes évitent les "mauvaises" fréquentations .Enfin presque : ils ont aussi des concubines.
les vinkings lors des invasions nomandes méprisent l'amour tarifé, ils obligent meme les prostituées à se marier.


C'est intéressant,mais pouvez vous donner vos sources Les documents de l 'époque ont rares et il faut se méfier des ragots ou des fantasmes.Désolé d'être "pinailleur".


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 Sujet du message : l'histoire de la prostitution
Message Publié : 20 Sep 2006 19:50 
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Thucydide
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Inscription : 13 Sep 2006 22:48
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sur le thématique historia n°102 JUILLET -AOUT 2006
"PROSTITUTION: l'histoire du plus vieux métier du monde", pages 26 à 29
VANDALES...ET VERTUEUX par Bruno Dumézil, maitre de conférence à Paris X-Nanterre.
voila ,pour ma source . :)


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 Sujet du message : l'histoire de la prostitution
Message Publié : 20 Sep 2006 19:50 
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Thucydide
Thucydide
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Inscription : 13 Sep 2006 22:48
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sur le thématique historia n°102 JUILLET -AOUT 2006
"PROSTITUTION: l'histoire du plus vieux métier du monde", pages 26 à 29
VANDALES...ET VERTUEUX par Bruno Dumézil, maitre de conférence à Paris X-Nanterre.
voila ,pour ma source . :)


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 Sujet du message : reponse
Message Publié : 20 Sep 2006 20:02 
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Thucydide
Thucydide
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il y a aussi l'histoire N° 264 - avril 2002
Dossier : Le commerce du sexe


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Message Publié : 28 Sep 2006 16:22 
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Jean Mabillon
Jean Mabillon

Inscription : 04 Juin 2006 12:47
Message(s) : 2720
Localisation : Centre
Voici quelques informations sur la question tirées d'un livre de Eva Keuls, déjà mentionné. Eva Keuls est professeur d'études classiques dans une université américaine et son livre traite de la situation des femmes dans l'Athènes du 5ème et 4ème siècle.
Deux chapitres de ce livre sont consacrés à la prostitution. Il est en anglais et n'a pas été traduit.
Pour ce qui est de ses sources, l'auteur se base sur des textes d'auteurs de l'époque mais elle fait aussi une large place à l'étude des arts plastiques, sculpture, fresques mais surtout un grand nombre de poteries, et de ce fait son livre est abondamment illustré.

La situation des femmes à Athènes était moins favorable qu'à Sparte, où la bonne santé des femmes et leur capacité à exercer des responsabilités masculines en l'absence des hommes partis à la guerre étaient jugées nécessaires à la production d'enfants solides et à la bonne marche de la cité. La sitation des prostituées athéniennes doit donc être vue dans le contexte plus général de la situation des femmes dans cette ville.
Lorsqu'on évoque la prostitution à Athènes, le nom d'Aspasie est immanquablement cité; l'ex-prostituée et concubine de Périclès étant présentée comme une femme cultivée et intelligente qui participait, quasi sur un pied d'égalité avec les hommes, aux débats de haut niveau entre les grands esprits de son époque.
En fait, les propos de prostituées rapportés par des auteurs de l'époque sont essentiellement des plaisanteries obscènes et le cas d'Aspasie n'était en rien typique des prostituées de son époque.
En effet, Aspasie était une femme libre, certes étrangère puisqu'originaire de Millet, alors que les prostituées étaient essentiellement des esclaves--les esclaves domestiques étant ipso facto à la disposition sexuelle de leurs maîtres. Keuls souligne qu'il n'est pratiquement jamais fait mention de prostituées issues de la classe des citoyens athéniens.
L'exploitation des maisons closes était par contre une activité parfaitementé admise pour les citoyens de bonne réputation. Théophraste mentionne la propriété de bordels comme un commerce ordinaire.
Aspasie semble avoir été, d'après ses contemporains, une femme plus gracieuse que vraiment belle mais avisée et bonne gestionnaire qui fut un temps proxénète et avait de nombreuses filles travaillant pour elle. En femme de tête, elle se chercha, et se trouva ensuite en la personne de Périclès, un protecteur influent et se remaria avec un homme aisé après la mort de celui-ci.
Corinthe était particulièrement renommée, plus qu'Athènes, pour ses prostituées. Une catégorie la plus basse de prostituées était nommée ''chamaitype'' cad frappeuse de sol; on peut donc supposer qu'elles exercaient leur activité à même le sol, soit en plein air, soit dans des réduits assez semblables à ceux de la prostitution romaine.
Plusieurs textes de l'époque donnent des précisions intéressantes sur la vie des prostituées--Aristophane, Platon--l'auteur de comédies, pas le philosophe. Parmi ces oeuvres, le ''Contre Nearea'' du pseudo-Démosthène évoque en détail une carrière de prostituée sans doute plus typique que celle d'Aspasie.
Néaréa est accusée par ce texte d'avoir caché son statut d'esclave et d'ex-prostituée et de s'être fait passer pour une respectable athénienne. Le texte raconte qu'elle aurait été achetée toute petite fille par une proxénète et ''entraînée'' à la prostitution par elle ; c'est une pratique qui semble avoir été courante, les proxénètes repérant les beaux enfants d'esclaves, les achetant et les mettant sur le marché à un très jeune âge, le nom pour cette catégorie spéciale de prostituées étant ''hypoparthénos hetaera'', cad quelque chose comme ''prostituée pas encore nubile''. La proxénète l'installa à Corinthe et en retira beaucoup d'argent. Elle la revendit ensuite en commandite à deux clients, puis la jeune fille fut rachetée par un autre client, Phrynion, qui la ramena à Athènes. Elle est la concubine--pallake--de ce Phrynion mais, assistant avec son compagnon à un banquet dit symposium--voir ci-dessous--et son compagnon ayant trop bu, quatre participants du symposium profitent de ce que Phrynion est assommé par l'ivresse pour la violer, à la suite de quoi Phrynion la maltraite, et elle le quitte. Elle retourne alors à la prostitution mais y adjoint l'extorsion, faisant croire à ses clients pour en tirer plus d'argent qu'ils ont commis l'adultère avec une citoyenne athénienne mariée, d'où la dénonciation du pseudo-Démosthène.

Un symposium était un banquet durant lequel un groupe d'homme mangeait, buvait, discutait et avait des rapports sexuels publics avec des prostituées payées pour la circonstance, qui appartenaient le plus souvent à la catégorie plus relevée de prostituées nommées hetaera.
Ces banquets/orgies étaient organisés dans la partie des demeures des citoyens réservée aux hommes--androne--et si l'épouse veillait à leur organisation, elle n'y participait évidemment pas, alors que les pallake y étaient admises. C'est dans ces banquets que les jeunes athéniens recevaient généralement leur initiation sexuelle, en famille cad en compagnie de parents masculins, avec des femmes plus âgées.

Les coupes à boire--kylix--utilisées en particulier lors de ces banquets représentent de nombreuses scènes de prostitution, soit des scènes de symposium, soit d'autres épisodes typiques:
accueil des clients, négociation du prix, clients passant en revue un groupe de femmes ou soulevant leurs jupes pour faire leur choix, danseuses et joueuses de flute en symposium, prostituées à leur toilette, clients jouant au jeu de kottabos, buvant--et même vomissant tandis qu'une prostituée leur tient la tête--et bien entendu de nombreuses scènes sexuelles, certaines pratiques hard paraissant extraites de films pornographiques contemporains.
Si dans certaines de ces scènes, les relations clients-prostituées, y compris sexuelles, semblent amicales, d'autres scènes mettent en scène des violences des clients sur les prostituées--par exemple plusieurs clients forçant physiquement une prostituée visiblement récalcitrante à une pratique sexuelle--des clients les frappant avec un bâton, avec une sandale, donnant des coups de pied, les tirant par les cheveux, etc.
Ue citation dudit Démosthène parlant du déroulement de ces symposium et du rôle qu'y jouent les prostituées jette un éclairage cru sur ce sujet ''nous nous réunissons, un groupe d'homme en érection, et nous frappons et étranglons qui nous voulons''.

A Athènes, le rapport de forces entre client et hétaire était particulièrement favorable aux hommes, qui avaient sur les prostituées l'avantage du sexe, du statut d'homme libre, de l'argent et de la classe. La fin de vie des prostituées étaient dure, les prostituées âgées étaient un sujet typique de plaisanteries cruelles dans les comédies et la culture populaire, beaucoup cherchaient à se mettre à l'abri du besoin en trouvant un homme qui les prenne comme pallake. La statue de l'époque héllénistique ''Vieille femme avec une jarre de vin'' est un témoignage émouvant de cette fin de vie difficile. Elle montre une vieille prostituée, maigre et ridée, assise et serrant sur son coeur une jarre de vin, ''son dernier amant''.


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Message Publié : 09 Mai 2007 21:36 
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Hérodote
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Inscription : 04 Mai 2007 20:36
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Zunkir a écrit :
Les geishas ne sont absolument pas des prostituées, il ne faut pas les confondre avec celles que les peuples d'Extrême-Orient appellent "courtisanes". Les geishas sont là pour servir le saké au cours d'un repas, divertir les convives avec leurs chants et leurs danses, avoir un brin de conversation, d'où la nécessité d'avoir une éducation assez poussée comme l'a dit Le Vieux. Mais elles ne couchent pas. Ce n'est d'ailleurs pas la peine de parler d'elles au passé, puisqu'il en existe encore.


Je sais que ce thread est un peu ancien, mais j'ai un autre éclairage sur cette catégorie très particulière de courtisanes.

D'après mes lectures, notamment les Mémoires d'une geisha (la source, pas le roman), la geisha a deux types de revenus :

- Une rémunération en fonction du temps passée à se distraire avec elle, car elle connaît le chant, la danse et la conversation.
- Une rémunération, beaucoup plus élevée, pour la nuit passée avec elle. Et là, il s'agit bien de relations sexuelles. La grande différence avec la courtisane de bas niveau est qu'il ne s'agit pas d'une passe, mais d'une nuit complète.

En théorie, la geisha est libre de refuser d'avoir des relations sexuelles avec son client. En pratique, elle est endettée, car elle a payé son éducation (musique, chant, danse), et doit donc tôt ou tard s'y plier. D'ailleurs, plus une geisha a de relations sexuelles, plus rapidement elle est désendettée, et donc libérée de la maison. Elle peut donc fonder la sienne - c'est un des "plans de carrière".
Le deuxième plan de carrière est de se trouver un protecteur, qui achète l'exclusivité des rapports sexuels (possibilité à terme de concubinage).


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Message Publié : 09 Mai 2007 23:19 
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Fustel de Coulanges
Fustel de Coulanges
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Inscription : 15 Nov 2006 17:43
Message(s) : 3549
Localisation : Lorrain en exil à Paris
Je plussoie le spectre du grand Ossip. Les geishas ne sont pas que des prostituées, mais elles remplissent aussi cette fonction. Pendant des années, on a répété à loisir, pour montrer que la civilisation japonaise était bien moins bassement sexuelle que celles d'Europe, que les geishas n'avaient qu'un rôle de compagnie. Elles ont ce rôle en effet, mais elles doivent également remplir des fonctions sexuelles. En effet, la plupart du temps, elles sont élevées dans l'apprentissage de beaucoup des arts japonais: thé, ikebana, poésie, chant. Mais il faut aussi savoir que cet apprentissage leur est payé par un protecteur, qui par là même "achète" leur virginité et le droit de la dépuceler (cérémonie appellée Mizu-Age si ma mémoire est bonne).

Alors oui, la geisha n'est pas une "putain" comme l'entendaient les Européens, mais nier la partie sexuelle de ses fonctions serait une erreur.

_________________
"[Il] conpissa tous mes louviaus"

"Les bijoux du tanuki se balancent
Pourtant il n'y a pas le moindre vent."


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Message Publié : 10 Mai 2007 21:30 
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Polybe
Polybe

Inscription : 17 Avr 2007 19:48
Message(s) : 68
Localisation : à droite en dessous de la pile de livres...
je sors quelque peu du domaine des geishas qui a occupé les derniers postes...
Que pensez-vous des hiérodules? Est-ce un fantasme ou certains cultes antiques ont-ils bien eu des prostituées sacrées? Et, si cette pratique est avérée, quel était leur statut social???


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Message Publié : 11 Mai 2007 10:00 
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Grégoire de Tours
Grégoire de Tours
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Inscription : 13 Jan 2007 20:12
Message(s) : 576
Localisation : Région parisienne
Je crois me souvenir que l'impératrice Julia Domna, femme de Septime Sévère, et d'origine syrienne a été accusée d'être une prostituée sacrée. Malheureusement, je ne sais plus d'où vient cette affirmation, à part le fait qu'elle était Syrienne, que son père occupait les fonction de grand prêtre de Baal à Emèse, et qu'on l'a accusée d'inceste (et même de mariage) avec un de ses fils, car on ne retrouve pas ces choses chez Dion Cassius, son biographe.

Par ailleurs, il me semble avoir entendu parler aussi de prostitution sacrée pratiquée par des hommes travestis, mais cela demande vérification.
En tout cas, qu'il s'agisse des femmes ou des hommes, il est toujours question de cultes orientaux.

_________________
Ne parlez jamais sèchement à un Numide.


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Message Publié : 11 Mai 2007 13:36 
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Plutarque
Plutarque
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Inscription : 21 Oct 2006 16:33
Message(s) : 193
Localisation : Paris
Je prêche pour "mon " siècle : "La prostitution et la police des moeurs au XVIII " de E.M Benabou chez Perrin.
Gros travail sur les filles du monde (c'est une jolie expression), leurs maquerelles et leurs clients et très facile à lire.


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Message Publié : 12 Mai 2007 9:22 
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Polybe
Polybe

Inscription : 07 Nov 2006 14:30
Message(s) : 67
Pour ce qui est de la Grèce antique il faut bein distinguer deux choses trés différentes (celà a été discuté hier en présence de Claude Mossé à l'université Toulouse-Mirail dans une passionnante journée d'études, à paraître dans Anabases dans six mois ou un an !).

D'une part les prostituées, souvent esclaves et trés mal vues.

D'autre part, les "courtisanes" le statut est trés différent. Ces femmes sont les seules à "intégrer le club des hommes". Elles participent au symposion (un peu comme les geischas mais les courtisanes peuvent coucher !), peuvent parier de l'argent, peuvent possèder et sont des femmes libres. La femme de citoyen n'a pas cette "liberté" ! Ce ne sont pas à proprement parler des prostituée, plutôt ce qu'ont été les femmes entretenues à l'époque moderne !

En revanche, et là je retourne à Rome, il faut voir les espèces de réduits qui servent de bordel à Pompéi, avec les fresques trés suggestives... là on est vraiment dans la prostitution de bas de gamme !

Voilou, juste pour dire que c'est le plus vieux métier du monde mais qu'il a été pratiqué de manières trés différentes...


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Message Publié : 22 Juin 2007 12:38 
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Hérodote
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Inscription : 11 Mai 2007 16:53
Message(s) : 7
Localisation : Cambrai
Personnellement je ne connais pas beaucoup le sujet, je sais juste qu'Alain Corbin en parle dans ses ouvrages - pour ce qui est du XIXème siècle.
Je suis en train de lire Le temps, le désir et l'horreur ; mais il y aussi Les filles de noce, misère sexuelle et prostitution au XIXème siècle, que j'aimerais lire également, si j'arrive à le trouver en librairie là où je suis.


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