Parce qu'il n'y en a pas : ce sont les fameuses exceptions à apprendre par coeur. Dogme de l'exception auquel se heurtent ceux qui voudraient moderniser l'écriture de la langue.

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"La vie des hommes qui vont droit devant eux, renaitraient-ils dix fois en dix mondes meilleurs, serait toujours semblable à la première. Il n'y a qu'une façon d'aller droit devant soi." (Pierre Mac Orlan)

Le Larousse Lexis donne :
Résidant(e) : adj. (1415, "habitant"). Qui réside : le lieu où il est résidant.adj. et nom (1846). Se dit de fonctionnaires qui résident dans la ville où ils ont leur travail.
Résident(e) nom (vers 1600). 1 - Agent diplomatique de grade inférieur à celui d'ambassadeur.
2 - Résident général, haut fonctionnaire qui est était placé par un pays protecteur auprès du souverain d'un pays sous protectorat.
3 - (vers 1900) Personne qui réside dans un autre endroit que son pays d'origine.

Cependant, une résidence principale, une résidence secondaire (Lexis : un résident secondaire!) ; n'ayant pas de résidence secondaire, il me semble que je suis un résident principal (et pas un "résidant principal"!)... Le président et la présidente présidant (participe passé) habituellement les séances ordinaires président en ce moment la séance extraordinaire...
Pour habitant, je suppose qu'on ne trouve pas le nom "habitent(e)" (avec la prononciation [an]) parce que c'est la forme plurielle du verbe habiter : Ils habitent (même prononciation que "Il habite"). Et pourtant : Il réside / Ils résident... Une résidence... La personne résidant (participe passé) ici...Un résident... Mystère!

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"Le doute est le premier pas vers la conviction" (al-Ghazali, mort en 1111).

Il y a un exemple hisrorique. Du temps de la IV° république, Guy Mollet nomma Yves Lacoste, ministre résidant en Algérie. Il fallut longuement expliquer que cela n'avait rien à voir avec une désignation de Ministre Résident. Ce terme avait une conotation différente, car il faisait penser au Résident général tel qu'il existait dans les protectorats de Tunisie et du Maroc.

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" Je n'oublie pas le Colonel Arnaud Beltrame "

et au Cambodge (voir le livre de Pierre Benoit "le Roi Lépreux", mettant en scène, entre autres, le résident général)

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"La vie des hommes qui vont droit devant eux, renaitraient-ils dix fois en dix mondes meilleurs, serait toujours semblable à la première. Il n'y a qu'une façon d'aller droit devant soi." (Pierre Mac Orlan)

Et ne pensez – vous pas que nombres de jeunes restent aujourd’hui sur le bord de la route ?

Quand il y a 25 % d’enfants qui entrent en 6ème sans savoir lire ( statistiques Education nationale ) , que plusieurs milliers d’adolescents sortent du système scolaire sans RIEN , même pas le fameux certificat qui leur assurait un niveau minimum de lecture, d’écriture , de maths et de culture générale .
J’en parle en connaissance de cause ayant été pendant 3 ans enseignante dans les classes de fin d’études.
Et je ne mentionne que pour mémoire les étudiants qui font 2 ou 3 années de fac et quittent le système sans diplôme.

Rien n’est jamais parfait, ni hier ni aujourd’hui , mais en 30 ans on a sabordé un modèle d’école que les autres pays nous enviaient.

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Il est beau de suivre sa pente, pourvu que ce soit en montant . André Gide .

Je confirme, ayant enseigné de 1962 à 2003 en résistant "de l'intérieur" contre le laxisme envahissant...

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"Le doute est le premier pas vers la conviction" (al-Ghazali, mort en 1111).

J'ai écrit plusieurs réponses que j'ai effacées l'une après l'autre, devant l'ampleur de la discussion. Finalement, je décide que je m'en fiche : étant plein de doute devant tant de certitudes, je m'efface.

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"La vie des hommes qui vont droit devant eux, renaitraient-ils dix fois en dix mondes meilleurs, serait toujours semblable à la première. Il n'y a qu'une façon d'aller droit devant soi." (Pierre Mac Orlan)

Je suis assez certain que cela n'est plus considéré comme une faute car "espèce de" est considéré comme un syntagme figé. De même on pourra écrire à une femme
- tu as l'air fatigué ou
- tu as l'air fatiguée (admis maintenant)

Admis maintenant ?

J'ai toujours dit d'une femme "elle a l'air belle" et non "elle a l'air beau" ou de l'eau d'une piscine "elle a l'air bonne" et non "elle a l'air bon", c'est peut etre votre première forme accordé avec le "air" masculin qui est "admis maintenant" (et encore s'il y a confirmation je veux bien).

Quant à "espèce" on aurait le droit de dire "un espèce de " et non "un sorte de" ?

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Je ne suis pas cultivé, je suis curieux.

Arf, à force de parler de masculin et de féminin j'en oublie que "forme" est féminin.

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Je ne suis pas cultivé, je suis curieux.

Même si "espèce de " est un syntagme figé, peut-être dans le sens "espèce d'.... "

il garde son genre féminin .
On dit une espèce et non un espèce

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Il est beau de suivre sa pente, pourvu que ce soit en montant . André Gide .

Quel sens donne-t-on à l'expression "avoir l'air"? Si on emploie cette dernière dans le sens de "paraître", on accorde l'adjectif comme un attribut, avec son sujet. On dira ainsi "elle a l'air belle". Si "avoir l'air" signifie "avoir telle mine, telle apparence", on considère alors que l'adjectif est épithète de "air" et on l'accorde en conséquence. Je ne serais pas choquée de lire "elle a l'air fatigué", pour "elle a une mine fatiguée" mais trouverais l'usage viellot.

Pour ma part, conformément à l'usage, je dirais "Elle a l'air intelligent" ou "Elle [me] paraît intelligente"...
"Elle a l'air bête", bien que plus confortable grammaticalement parlant (aucune équivoque, hélas!), s'avère nettement moins courtois!

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"Le doute est le premier pas vers la conviction" (al-Ghazali, mort en 1111).

Nous "avons l'air" de nous éloigner du sujet liminaire (Emploi du participe présent...)!

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"Le doute est le premier pas vers la conviction" (al-Ghazali, mort en 1111).

Pas si simple il me semble (mais il faut que je retrouve mes sources,je crois qu'il s'agit d'une réforme de la grammaire des années 90, mais je suis peut-être en plein délire) : si c'est un syntagme figé, il ne s'agit plus de parler "d'une espéce de quelque chose", mais de "espèce de" qui devient "un espèce" (!!) d'adjectif donc s'accorde avec le nom. On dit "un espèce de mensonge", comme on dit "un vague mensonge". C'est peut-être laid (ça ne me choque pas personnellement), mais le français est une langue vivante. Et il n'y a là aucun drame. D'autant moins qu'on trouve cette faute dès le XVIIIe notamment chez Saint-Simon, ou encore chez Voltaire qui évoque "un espèce de grand homme (sic).

Oui, on s'éloigne du participe présent, mais est-ce un drame ?