Même patois même style, à savoir en phonétique :

Pégno poulo = Se dit de quelqu'un qui peigne les poules ( en somme il sert à rien )
Jaré de gre = Jambes de criquet ou mollets de coq...c'est selon
Bara ta gousso = Ferme ta g.......

Celles que je préfère dans mon hit parade Limougeaud

Quo lo magne lo pneu = ça le travail
et Lou birou faye tou = Le sexe fait beaucoup de choses

Conclusion : Fédédi = Pour marquer l'étonnement

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> Le courage, c'est de comprendre sa propre vie... Le courage, c'est d'aimer la vie et de regarder la mort d'un regard tranquille... Le courage, c'est d'aller à l'idéal et de comprendre le réel.
( Jean Jaurès )

Et que dire du fameux intao! pour signaler la taille de quelque chose.

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Scribant reliqua potiores, aetate doctrinisque florentes. quos id, si libuerit, adgressuros, procudere linguas ad maiores moneo stilos. Amm. XXXI, 16, 9.

Si on part dans les patois et dialectes régionaux, on n'a pas fini !
En Bourbonnais, un simplet est un bredin (ou un tacarot) et l'église de Saint-Menoux conserve dans son choeur un sarcophage mérovingien percé d'un trou rond : y passer la tête rendait, soi-disant, la santé mentale, et l'objet est donc appelé débredinoir.

Tout lecteur de René Fallet ne l'a pas oublié! Ses romans sont remplis de bredins et bredignots.

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"[Il] conpissa tous mes louviaus"

"Les bijoux du tanuki se balancent
Pourtant il n'y a pas le moindre vent."

On l'a aussi le bredin... J'ai une tendresse toute particulière pour gigougner pour quelque chose qui remue alors qu'il ne devrait pas. Et puis pour éclafouérer qui se dit lorsque quelque chose ou quelqu'un tombe d'une manière assez significative.

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Scribant reliqua potiores, aetate doctrinisque florentes. quos id, si libuerit, adgressuros, procudere linguas ad maiores moneo stilos. Amm. XXXI, 16, 9.

J'entends parfois ce mot dans la bouche de ma compagne Dur-dur l'intercompréhension Vosges-Limousin!

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"[Il] conpissa tous mes louviaus"

"Les bijoux du tanuki se balancent
Pourtant il n'y a pas le moindre vent."

Eclafoirer existe aussi dans la Loire. A Lyon, on dit s'abouser, et on (cad Puitspelu) précise qu'il serait "inconvenant de dire qu'une dame s'est abousée : on dira qu'elle est tombée à cacabozon." Dans le Roannais : s'épalailler.

Il y a aussi pas mal de verbes en "é-(...)-er" en Bourbonnais comme :
- échabuiller : ébouriffer
- écharogner : couper en arrachant à demi (avant l'invention des ouvertures faciles avec des capsules plastique, il était fréquent que la brique de lait se trouve "toute écharognée")
- s'écouiner : s'user aux coins (pour un sac notamment)

chafouin = être de mauvais poil

En ce qui concerne la dénomination d'un sac, là on va rire

Qui utilise le pochon ?

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> Le courage, c'est de comprendre sa propre vie... Le courage, c'est d'aimer la vie et de regarder la mort d'un regard tranquille... Le courage, c'est d'aller à l'idéal et de comprendre le réel.
( Jean Jaurès )

J'ai connu la poche; l'aire de répartition est à peu près celle de la chocolatine. Il y a aussi "cornet".

Ha hé bien pochon.... bien entendu!

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Scribant reliqua potiores, aetate doctrinisque florentes. quos id, si libuerit, adgressuros, procudere linguas ad maiores moneo stilos. Amm. XXXI, 16, 9.

Oh là, si on se lance dans ces discussions...

Par chez moi, il n'existe que des cornets, une poche, c'est l'endroit où l'on met ses clefs, son portefeuille ou ses mains!

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"[Il] conpissa tous mes louviaus"

"Les bijoux du tanuki se balancent
Pourtant il n'y a pas le moindre vent."

Cette histoire de poche et de sac ça donne toujours lieu à des quiproquos marrants quand on part en vacances. Chez moi dans la Marne, une poche c'est soit un ivrogne, ou ça sert aussi à ranger ses clés dedans (dans la poche, je précise... ). Un cornet ça sert à mettre des boules de glaces dessus. Et on utilise un sac pour mettre ses courses dedans (dans le sac).

Ensuite il y'a régulièrement débat avec nos voisins ardennais pour désigner une poignée de porte : chez nous ont dit une clanche, chez eux on dit une cliche. Seulement chez nous "avoir la cliche" c'est "avoir la morve au nez", et chez eux, une "clanche" ça ne correspond à rien.

Ils sont fous ces ardennais...

Les Vendéens, quand ils n'utilisent pas une poche... d'où des quiproquos burlesques... et mon refus d'utiliser ce genre de terme ! (pour pas être assimilée à une vendéenne, j'ai ma fierté )

Un gendarme-couché, pour désigner un ralentisseur...

étouffe-chrétien est utilisé pour désigner tout gateau un peu sec et bourratif du côté de ma belle-famille (Bretagne/Normandie), j'ignorais qu'il existait une recette spéciale !

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Yoda

On ne peut jamais se reposer sur l'amour - et c'est pourtant sur lui que tout repose. - Jean Rostand

Une clanche (ou clenche?) se dit couramment chez moi et on utilise d'ailleurs le verbe clencher.

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"[Il] conpissa tous mes louviaus"

"Les bijoux du tanuki se balancent
Pourtant il n'y a pas le moindre vent."

Un mot typiquement "ch'ti " ; une wasingue, qui vient de l'allemand "wassen", nettoyer. Mais peut-être que les Lorrains de ce forum connaissent le mot ?

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"L'Angleterre attend que chaque homme fasse son devoir" (message de l'amiral Nelson à Trafalgar)