bourbilly21 a écrit :
Mauduit décrit aussi une scène où cette expression est vécue en direct à Waterloo, concernant les Anglais devant le carré de la Garde dans lequel il combat
Sans doute pensez-vous à ce passage :
"Cette fois, on ne tirera qu'au même instant où la baïonnette s'enfoncera dans l'homme ou dans le cheval. Ce choc sera le dernier !!!"
Mais à Waterloo, les tissus ne semblent pas avoir été aussi inflammables qu'aux Pyramides :
"Plusieurs mamelouks ont leurs vêtements en feu, les bourres de nos armes les avaient allumés. J'étais au drapeau et je vis tout près de moi des mamelouks, blessés, en tas, et qui brûlaient, essayer de sabrer les jambes des soldats du premier rang."
(François, Journal)