Hérodote a écrit :
Je crois me rappeler que les Arabes empruntèrent l'alphabet Syriaque, sous les Séleucides, où on parlait l'araméen ...
Est-ce à dire que l'écriture resta inconnue des Arabes jusqu'au 2 ième siècle BCE (Before Common Era, quelqu'un peut-il me dire comment ça ce dit en français???) ?
Les premières pièces de monnaies arabes (BCE) montrent une chèvre et ses cornes. Y avait-il une raison autre que l'importance économique de ces troupeaux ?
BCE = Avant notre ère ou Avant Jésus-Christ
Les Etats arabes n'ont formé une réelle fédération qu'à l'avènement de Mahomet et le début de l'islam. Avant cela ils formaient des tribus éparses, dont l'essentiel du revenu provenait des troupeaux et du commerce. Ils n'étaient pas agriculteurs (le climat ne le permettait pas, il ne le permet toujours pas d'ailleurs...)
Je crois également savoir que durant plus de mille ans dans cette région du moyen et proche orient l'araméen était la langue "internationale" des commerçants, et il n'est pas du tout étonnant de voir cet alphabet être emprunté pour l'écriture des langues de la région (sauf l'égypte qui est resté un cas à part) des mots comme aleph, samek, bêt sont communs d'ailleurs au syriaque et l'arabe, et ... a leur alphabet
Citer :
les dictionnaires de langues sémitiques classent d'ailleurs en fonction des racines si je ne me trompe
Exact, du moins pour l'arabe, et j'ai toujours été déstabilisé pour chercher un mot dans le dictionnaire arabe
dont l'utilisation me parait trés fastidieuse.
Enfin pour revenir sur les voyelles en arabe, il y a eu beaucoup de soucis pour l'interprétation de certains versets coraniques au XIe siecle sous Haroun El Rachid (???? pas trés sûr de ce que je dis là je vérifierai) nottement pour ce probleme de manque de voyelles, et depuis la vocalisation a été ajouté à l'écriture arabe (des accents sur les consomnes pour indiquer les voyelles)
Pratique de plus en plus abandonnée par la presse arabe et les imprimeurs parceque trés fastidieuse à appliquer binairement. (Facile à lire pas trés facile à faire écrire à une machine)