Exactement. C'est bien la reine Élisabeth II qui a été le chef d'État officiel d'un pays communiste : durant la période du Gouvernement révolutionnaire populaire, de 1979 à 1983, la Grenade est en effet demeurée un royaume du Commonwealth.

A vous Pierma.

Je ne pensais pas qu'ils s'étaient officiellement proclamés "gouvernement populaire." Je savais juste que des conseillers du KGB et des militaires russes s'y trouvaient. (Lu ça dans Le Carré ou un autre...)

Un gouvernement communiste qui envoie ses voeux à chaque anniversaire de "notre très gracieuse souveraine"....

Une des choses qu'enseigne l'histoire c'est que les situations les plus inattendues ou invraisemblables peuvent parfaitement exister.

Après cette pensée du jour - bel effort pour un samedi matin - je dois avouer que je n'ai pas d'énigme sous la main...

Qui veut prendre la main ?

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Si l'avenir est multiple, le passé est unique. Malgré cela, la réalité historique est parfois difficile à découvrir.

Bon et bien je relance d'une question, dans ce cas : quelle bataille, cas unique dans les annales militaires, a vu la prise d'une flotte par une charge de cavalerie ?

Au Helder, en 1795.

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" Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)

Et le général français s'appelait Pichegru, que nous potaches, avec beaucoup de finesse avions surnommé Pisse dru

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" Je n'oublie pas le Colonel Arnaud Beltrame "

Tout à fait. A vous Cyril.

Baptisée d’un prénom pour le moins curieux mais de circonstance, je suis la fille d’un homme politique dont le regard n’était pas sans rappeler les armoiries de celui qui fit construire le château où mourut un célèbre compagnon de Jeanne d’Arc. J’ai vu le jour dans un hôtel où passa deux fois Napoléon et près duquel sera édifié ce monument honorant la mémoire d’un officier de la légion étrangère tombé au feu en Afrique du Nord :


Qui suis-je ?

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" Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)

Je vous fais part des mes recherches et élucubrations : le monument semble être à la mémoire du commandant Provost né à Casablanca et tué au Maroc en 1907 ; ce monument est situé à Nevers, ville où se trouvait l'hôtel du grand monarque, dans lequel Napoléon passa lors de son retour d'Egypte, et sans doute une autre fois.
Pour le compagnon de Jeanne d'Arc j'ai choisi ,d'autorité, Dunois, mort au château de Château de La Tournelle à l'Haÿ les Roses, qu'avait fait construire Hémon Raguier, dont les armoiries sont les suivantes:

...bref me voila dans une impasse

L'hôtel où naquit notre inconnue n'est pas celui du Grand-Monarque. Napoléon s'y arrêta bien le 15 octobre 1799, mais il passa à d'autres occasions à Nevers, et là, dans un autre hôtel, en l’occurrence celui de l'énigme.
Pour le reste, tout est bon. L'énigme, du coup, ne devrait pas tarder à tomber.

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" Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)

Napoléon III et le général Taverna n'ont rien à faire dans cette énigme (Napoléon III a dormi à Nevers) ?

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"... Et si je te semble avoir agi follement, peut-être suis-je accusée de folie par un insensé." (Sophocle)

Non, comme déjà dit plus haut, le Napoléon de l'énigme est bien Napoléon 1er.

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" Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)

Pour l'hôtel dans lequel a séjourné Napoléon, il pourrait s'agir de l'Hôtel de France, à Nevers, aujourd'hui disparu. Les Allemands s'y étaient installés sous l'Occupation, d'après ce que j'ai pu glaner ça et là. Le dernier séjour de Napoléon 1er à Nevers daterait d'avril 1814.

Ce qui ne m'avance guère - si tant est que ce soit bien cet hôtel que vous évoquez dans votre énigme. Je me perds dans les interprétations du "regard" de cet homme politique, qui aurait quelque chose à voir avec les armoiries de Raguier. Un lien avec les perdrix ?

C'est bien cet hôtel.



Absolument.

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" Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)

La femme serait-elle Marie Casimire L. de la Grange d'Arquien, épouse de Jean III roi élu de Pologne ?

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"... Et si je te semble avoir agi follement, peut-être suis-je accusée de folie par un insensé." (Sophocle)

Je tente Nièvre Fouché, fille de Joseph Fouché. Je n'ai pas trouvé confirmation de son lieu de naissance, mais son cher papa se trouvait à Nevers, en 1793, lorsqu'elle à vu le jour. Prénom original, de circonstance, assurément.

Je n'ai pas trouvé le lien entre Fouché et la perdrix - soit je me trompe totalement, soit c'est une allusion à une description qu'aurait donné de lui un de ses biographes, ou un écrivain - Sweig ? Balzac ?

Nièvre Fouché, donc.