Pierma a écrit :
C'était l'époque où Georges Soros se faisait une fortune en jouant la livre sterling à la baisse, en réussissant avec tous les fonds qui suivaient son exemple à obtenir une dévaluation forcée de 20%
Il a d'ailleurs fait la même, en plus... "réussi" en pariant à la baisse sur l'obligation Grecque et l'euro. Joli boulot, une économie exsangue ruinée par la fuite des investissements, une dette à réduire qui ne peut qu'exploser dans ces conditions et celles de taux d'intérêts délirants. Les investisseurs moutons fuient encore, un cercle vicieux qui fait qu'on obtient un peuple sans souverainneté sur son pays (triste pour le pays d'origine de la démocratie) et sur lequel on tape comme un clou.
Et on parle moins de l'Espagne mais elle subit aussi beaucoup, pour des "raisons" encore moins valables que la Grèce.
Je plains l'Italie, qui commence à faire la une des journaux financiers, relayés par les bloggeurs un peu bêtes de la finance, plutôt en panique d'une perte de fonds bien que certains soient aussi des "bear traders" prêts à saisir l'opportunité. C'est un petit pactole qui s'annonce pour certains spéculateurs aidés par leur troupeau de moutons, ils ne vont louper ça pour rien au monde.