On parle de la "Confédération Helvétique" (mais c'est compliqué !!!!)
wiki a écrit :
Depuis le milieu du XIVe siècle, le terme de confédération est employé pour qualifier les systèmes d’alliance qui se sont formés sur le territoire de la Suisse actuelle. Le mot français, comme ses équivalents dans les langues latines, est issu du latin foedus, « traité d'alliance », alors que l'allemand Eidgenossenschaft renvoie au « serment devant Dieu », Eid, prêté par des Genossen, « compagnons » de même rang. Le mode d’association ainsi désigné contraste avec la dissymétrie des liens de dépendance féodaux.
Le nom de Schweiz, d'où dérive le français Suisse, est utilisé dès le XVIe siècle par les Autrichiens, par déformation de celui du canton de Schwytz (Switz ou Sweitz en moyen haut-allemand) qui est alors, parmi les trois cantons d’origine, le plus proche géographiquement de Vienne, pour désigner l’ensemble de la communauté révoltée contre eux. Le terme de Schwytz, quant à lui, viendrait de celui apparu en 972 pour désigner la population de la région, les Suittes ; ce nom serait lui-même issu du vieux haut-allemand suedan signifiant « brûler », rappelant ainsi comment les habitants défrichaient les forêts avoisinantes afin de construire ou de cultiver les terrains.
La mention Confédération suisse apparaît pour la première fois en allemand dans un document datant de la guerre de Trente Ans (1618-1648). Cependant l'expression ne devient courante qu'au XVIIIe siècle, où elle n'est encore ni officielle ni unique, puisque les appellations Corps helvétique, Magna Liga, Ligues et Helvetia sont également utilisées pour désigner le pays.
La aussi, c'est pas si simple !! (mais un Belge ne peut pas faire la leçon, sur ce point, à un Suisse
)
wiki a écrit :
La politique en Suisse est celle d'un État fédéral comportant trois niveaux politiques : la Confédération, les cantons et les communes. Les 26 États fédérés cèdent une partie de leur souveraineté à l'État fédéral. État démocratique, il se caractérise par une démocratie semi-directe, l’importance des droits civiques, politiques et fondamentaux ainsi que la neutralité en politique extérieure. La politique interne respecte la séparation des pouvoirs. Elle répond à la nécessité de recherche de consensus liée aux diversités régionales et linguistiques, par une représentation équilibrée au sein des institutions