"Ce que vous dites est vrai pour les symphonies ou les concertos ne l'est absolument pas pour les quatuors qui sont d'uen grande intériorité. De même ce lieu commun sur Wagner est vrai pour certains passages souvent les plus célèbres mais ignore les vrais chefs d'œuvres de Wagner comme la mort d'Isolde."
L'intériorité d'un esprit carré (c'est une litote) est toujours carrée si vous me suivez...
Et comme je vous l'ai dit, je préfère de beaucoup Wagner (les harmonies) à Beethoven, qui m'irrite, y compris les Sonates, comme des ongles sur un tableau noir.
il y a quelque chose de puissant mais de lourdingue chez Beethoven; sorry mais je préférerai toujours l'élégance, la retenue, la fluidité et le raffinement à la force, Chopin à Beethoven, Gérard de Nerval à Victor Hugo et Camille Claudel à Rodin.
De gustibus et coloribus...