DESHAYS Yves-Marie a écrit :
Citer :
Edwin Fisher aussi (qui est il faut le dire indépassable dans le Clavier bien tempéré).
À mon avis, aucune version du
Clavier bien tempéré n’en épuise toute la substance. !
Oui. Je place au sommet les versions de Fischer et de Landowska mais jamais je ne me priverai des autres merveilleuses sensations que me procurent un Richter ou un Walcha. Et on peut dire la même chose avec toutes les autres oeuvres de Bach.
Les Sonatas et Partitas par exemple. Je place au sommet Heifetz et Milstein mais je serais fou de me priver du travail d'un Menuhin ou d'un Szeryng. Chaque interprétation apporte quelque chose.
DESHAYS Yves-Marie a écrit :
Disposant des versions suivantes :
Leon BELBER, clavecin
Huguette DREYFUS, clavecin
Samuel FEINBERG, clavecin
Edwin FISCHER, piano
Glenn GOULD, piano
Friedrich GULDA, piano
Jenö JANDÓ, piano
Ralph KIRKPATRICK, clavicorde
Ton KOOPMAN, clavecin
Wanda LANDOWSKA, clavecin
Davitt MORONEY, clavecin
Sviatoslav RICHTER, piano
Andras SCHIFF, piano
Louis THIRY, orgue
Rosalyn TURECK, piano
Bob VAN ASPEREN, clavecin
Blandine VERLET, clavecin
Helmut WALCHA, clavecin
Glenn WILSON, clavecin
Il y en a de nombreux que je n'ai jamais écouté (six exactement). Connaissez-vous l'interprétation de Scott Ross? Et si oui qu'en pensez-vous?
DESHAYS Yves-Marie a écrit :
Sans parler de tous les préludes & fugues du CBT que j’ai étudiés et que je travaille inlassablement, quotidiennement… sans avoir jamais l’impression de déjà vu, de déjà entendu, ou de déjà joué.
C'est cela qui m'étonne toujours avec Bach. On ne s'en lasse pas.
DESHAYS Yves-Marie a écrit :
Bien que violoncelliste, Pablo CASALS commençait toujours chacune de ses journées en jouant, au piano et dans l’ordre, un Prélude & Fugue du CBT… Au bout de 48 jours, il recommençait !
Merci pour cette anecdote! Si vous en avez d'autre n'hésitez surtout pas.