Si on veut, sachant que les voeux sont accordés par ordre de classement (sauf points accordés pour les PACS, mariages, enfants), il est logique de dire que les derniers sont les moins bien servis, ma petite amie peut témoigner. Et le pire, c'est qu'une fois nommé dans un secteur donné, il n'est pas facile d'en repartir. Finalement, je suis bien content d'avoir échoué de peu la 1ere fois que j'ai passé le Capes pour avoir pu lancer ma carrière sur de bonnes bases l'an d'après avec un bon classement et une bonne affectation!

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Victi, vincimus.

Je partage le point le vue d'Aurelianus. Pour ma part, le classement m'a permis de rester dans mon département et d'obtenir un bon établissement.
Toutefois, les pacsés (quelque chose que l'on ne pense pas à faire l'année du concours) ont plus de chances de rester près du lieu de résidence; il me semble que le classement intervient après les rapprochements de conjoints.

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"Si, dans la pratique démocratique anglaise, l’opposition, selon un mot admirable, remplit un service public, dans les États totalitaires, l’opposition devient crime ", Raymond ARON.

Pourvu qu'ça dure (comme dirait l'autre).
Néanmoins, je croyais que les bonifications par décile ne jouaient pas beaucoup après l'année de stage... à me faire confirmer ou infirmer par un spécialiste des arcanes des mut'.

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<i>On ne se fait pas putain comme on s'fait nonne,
C'est du moins ç'qu'on prêche en latin à la Sorbonne<i>

Confirmé, ça ne sert qu'à l'établissement de la note pédagogique, mon propos ne s'appliquait qu'à l'année de stage. Pour la mutation l'année suivant le stage, entrent en compte les points sortant iufm (50), les points PACS, mariage, enfants, etc... s'ajoutant aux 21 points dont dispose tout stagiaire.

Reste que l'affectation pour l'année de stage peut peser négativement sur le lieu de nomination. en gros, si on vous a envoyé en stage à Boulogne s/ mer, il y a de fortes chances que vous soyez TZR dans une ZR proche.

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Victi, vincimus.

J'avais donc mal compris

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<i>On ne se fait pas putain comme on s'fait nonne,
C'est du moins ç'qu'on prêche en latin à la Sorbonne<i>

Bonjour,

Je dois nuancer mon propos:

En ESD (géographie), ma note est en totale adéquation avec ce que j'ai produit, car il faut l'avouer, je n'avais que des connaissances lacunaires, et les 05 points sont à attribuer à l'entretien qui lui fut davantage fécond, mais il est évident qu'avec un exposé bancal, on ne peut pas atteindre 10.

C'est en leçon que l'incompréhension demeure, et encore...
Pour ma part, le fait de tenir 22 minutes m'a éliminé, MAIS, j'ai entendu dire, de sources peu sûres il est vrai, que ne pas tenir son temps, même franchement, comme ce fût mon cas ( ), n'entraînait pas une chute aussi vertigineuse de la note, et qu'il y'avait forcément "autre chose".

Si on se base sur cette hypothèse, d'un simple point de vue académique, je ne comprends toutefois pas la note, car même si mon plan n'était pas un bijou, il n'était pas non plus, je pense, ridicule.
L'entretien quant à lui se révéla classique, je demeurai collé sur quelques questions, mais je répondai à l'écrasante majorité des questions, de manière convenable je pense (dans le sens ou je ne pense pas avoir dit de contre-sens ou d'énormités historiques, même si probablement certaines de mes réponses pouvaient être erronées)

D'ailleurs, si quelqu'un s'avère être capable d'éclairer ma lanterne sur ce seul aspect, c'est avec joie que je peux lui transmettre sujet et plan en privé

Bonne journée à vous.

Pardon pour les quelques coquilles ci-dessus, je poste à la sauvette !

Pour le temps, cela dépend des jurys, mais sachez que si certains ne pénalisent pas lourdement, d'autres ne mettent pas de notes supérieures à 05 pour une leçon inférieure à 25 minutes. Cela partant du principe qu'en tant qu'enseignant, vous ne sauriez pas tenir votre temps de cours...

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Victi, vincimus.

Bé ça montre donc bien toute la débilité du concours puisque justement, aucun prof ne "tient son temps de cours" vu que les programmes ne sont jamais finis ou au prix de combien de coupes sombres voire de sabrage....
...Enfin bref, il y aura toujours une part de hasard et de mystère dans ces concours...

Moui enfin le concours c'est un peu comme le permis de conduire, on sait que le futur conducteur n'aura jamais une conduite parfaite dans sa vie quotidienne mais on exige qu'il ne fasse pas de fautes le jour de l'examen. Au CAPES, il faut au moins montrer que l'on est capable de le faire, même si dans la pratique la leçon parfaite, on ne la sort pas tous les jours.

Pour la part de hasard je suis tout à fait d'accord avec vous.

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Victi, vincimus.

Et entre le prof qui remet sa conclusion de chapitre à l'heure d'après parce qu'il a un peu débordé et l'étudiant qui vous regarde avec des yeux ronds comme des soucoupes quand, au bout de 20 minutes d'exposé, vous lui dites d'accélérer un peu parce qu'il en est au milieu du II., y'a un sacré fossé !

Quant à taxer le concours de "débilité"

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<i>On ne se fait pas putain comme on s'fait nonne,
C'est du moins ç'qu'on prêche en latin à la Sorbonne<i>

le capes reste un concours relativement facile, si on est bon on l'a du premier coup, il faut juste un peu de marge pour éviter de mauvaises surprises à l'oral

cher tzimiskès : si votre plan est juste correct ne cherchez pas plus loin ;)
ne pas tenir son temps d'autant est aussi très préjudiciable

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Ma vie est pour toi, mon sang pour l'Empereur et toute ma vie à l'honneur

Dire qu'il est accessible je veux bien, mais qu'il est facile il faut pas exagérer quand même! Surtout que la part d'aléatoire y est bien présente, on peut être bon, très bon même, et échouer au Capes!

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Victi, vincimus.

Mon CAPES commence à être loin, mais globalement, je l'ai préparé seul (loin d'une fac, et il fallait travailler pour manger...). Une année de moine donc, avec le CNED (j'espère qu'il a changé depuis... ). Pour les oraux, la première fois, je sors de l'épreuve dite "professionnelle" à l'époque, relativement deçu. Bilan, 6/20...
La seconde fois, après une meilleure préparation sur cette épreuve, je sors en me disant que ce coup-ci, c'est gagné. Bilan, 3/20...
Je veux bien me remettre en cause (je fais ça tous les soirs dans ma voiture en rentrant du lycée...), mais il faudrait aussi que les notes soient justifiées un minimum pour qu'on puisse réfléchir dessus...
Pour des types qui vous parlent de pédagogie à longueur d'année, oser mettre une note sans appréciation (j'entends une appréciation que le collé pourra consulter), ça me laisse perplexe...
Autrement, je connais pas mal de gens qui l'ont eu du premier coup, comme l'agreg d'ailleurs... Mais pas moi !!!

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C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certains brillent avant d'avoir l'air con...

Franchement le concours reste moyennement facile, surtout si on compare à l'agrégation, si on est très bon aucun risque d'échouer dsl
suffit de voir qui réussit le concours
y a une part de chance mais quand on vaut un 15 en dissert lachance ne joue plus, avec de la malchance on a 10 pas 5
Donc ça passe.

Désolé de me prendre pour exemple mais j'ai eu mon capes en 2001 , j'étais un bon étudiant sans être non plus très bon faut de travail peut être (mention AB seulement en Licence), j'ai fait le minimum lors de la préparation : j'assistais à tous les cours et td, j'ai fiché un manuel en plus, avec une lecture ou 2 en plus. J'ai eu de gros soucis persos avant les oraux du capes mais j'ai réussi malgré tout.

Pour l'agreg ce fut une autre paire de manche, il faut travaillver 3 4 fois plus mais je l'ai eu aussi (mais bien après ;))

Donc arrêtons de fuir l'obstacle : bossez à fond et ça passera, surtout ne négligez pas les rares entrainements à la fac

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Ma vie est pour toi, mon sang pour l'Empereur et toute ma vie à l'honneur