calame a écrit :
On a des cas de mariages de souverains avec des non-musulmanes, notamment en ce qui concerne les mariages diplomatiques. Sous les Fatimides, on a aussi des coptes/juifs à de très hauts postes (vizirat, si je ne m'abuse).
En Al-Andalus il existe également des cas de mariages mixtes mais la règle, quelque soit le lieu et l'époque, semble être
que le mariage soit quasiment toujours au bénéfice de la religion de l'homme (l'épouse se convertit à la religion du mari et jamais le contraire, quelque soit la religion de départ et celle d'arrivée).
De plus en Islam, les cas d'individus dhimmis accédant à des hautes fonctions sans se convertir semble démontrer que le mariage n'est un l'élément déterminant ni nécessaire pour accéder au type de charge tel que le vizirat.