Sujet historico mélo-dramatique par excellence, Rodolphe, en opposition fondamentale avec la politique de son père ( François-Joseph ne s'appuyant que sur les allemands et hongrois de l'Empire) tandis que Rodolphe souhaite s'appuyer sur les "minorités"slaves...
De plus, sa hâte de voir disparaître son père et de règner à sa place indispose plus d'un notable.
Héritier des "tares" des Wittelbach, comme l'indique fort bien Clihaux, il était, incontestablement, un être fragile, intellectuellement limité, incapable de diriger un empire multi-éthnique aussi compliqué que celui des Habsbourg ( non que son père soit un aigle, comme Joseph 1°, loin de là mais F.J. était le premier serviteur/administrateur de l'Empire).
Tout ceci pour dire que Rodolphe était isolé de la vie politique/économique et peut être faut il chercher une piste dans cette voie, ses visions de l'avenir de l'Empire risquant de faire éclater un système difficilement réalisé et de remettre en question les intérets économiques de plus d'un .....
Participation directe de F.J. dans cette histoire... non, c'est impensable... intervention de gens menacés, peut-être, possible !!!!!!
Quand à l'histoire des traces de liens, ne pas oublier que Rodolphe avait des moeurs " bizarres", qu'après avoir eu comme maîtresse la mère de Maria Vetzera, il avait conquis le "coeur" de cette dernière et selon la légende, l'aurait convaincu de se suicider avec lui !
Quoi qu'il en soit, si vous passez à Vienne, inutile de perdre une demi-journée à Mayerling, il n'y a pratiquement rien puisque l'Empereur avait donné ordre de tout faire disparaître, une visite à la Crypte des Capucins est infiniment plus intéressante