Cuchlainn a écrit :
Citer :
le calmar géant est chassé par les cachalots entre 800 et 1000m de profondeur justement.
Et bien il ne se nourrit pas de cachalots, donc. Il est chassé par eux. Ce qui n'est pas la même chose.
Les scientifiques pensent que le calmar géant se nourrit également de cachalots. Entre eux c'est à la vie à la mort !
Citer :
Quant au calmar colossal se nourrissant de krill, j'avoue que j'aimerais une source plus détaillée que Wikipédia pour comprendre par quelle bizarrerie de l'adaptation un animal mangerait des proies d'un centimètre alors qu'il possède tout l'équipement pour s'envoyer du plus gros calibre et le fait régulièrement.
Il mange le gros calibre : les cachalots, et le petit calibre : du krill. Il est omnivore, il mange ce qu'il a à sa portée. Comme nous, en somme : on peut manger des herbes et de la vache également.
Tout ce que je dis viens des liens déjà postés.
Wikipédia a beau ne pas être parfait, il a le bonheur d'exister (et je m'en réjouis car je l'utilise très souvent) et surtout d'être perfectible (ce que je ne manque pas de faire quand je peux).
Narduccio a écrit :
Quelles preuves ? Celles de journalistes américains (j'ai déjà vu ce documentaire à plusieurs reprises) qui font du sensationnalisme ? C'est tout sauf un documentaire scientifique. Il n'est pas présenté à charge et à décharge et il est présenté de manière partiale. Un journaliste scientifique est un journaliste qui parle de sujets scientifiques, ce n'est pas une preuve de sérieux. Il y en a qui exercent de manière admirable leur métier, mais la télé américaine demande de plus en plus de sensationnalisme pour passer un documentaire et la partie scientifique en pâtit énormément. Il est vrai qu'un documentaire qui respecte la partie scientifique en étant plus rigoureux est moins accrocheur et qu'il faut être un passionné pour rester devant à le regarder.
J'ai gardé une très bonne impression de ce reportage. Auriez-vous l'amabilité de me rappeler son titre, afin que je puisse le retrouver sur internet, svp ? Je suis étonné de votre jugement négatif, peut-être ne parlons-nous pas du même documentaire après tout ?