Narduccio a écrit :
[En fait, Comme dans le groupe initial, il y a beaucoup de X, un peu moins de X1 et que quelques X2, il y a de fortes chances que dans le groupe qui part, il y a que des X et des X1. Quand on va analyser l'ADN plusieurs centaines de générations après, dans le premier groupe, il y aura des X2 et leurs mutations ultérieures (X2a, X2b, X2c, X2a', X2a" ...). Dans le second groupe, on ne devrait pas trouver de X2. En contrepartie, comme il y a peu de personnes, il est possible que le X initial disparaisse au profit d'une des formes mutantes ultérieures.
Bravo Narduccio pour cette brillante vulgarisation indispensable pour éclaircir nos esprits confus, mais n'y voyez aucune offances et revenons à la vrai vie. Les populations séparés se retrouvent de temps en temps et on retrouve un peu de X2 dans le second groupe ce qui brouille les pistes et rend les réalités changeante.
Par rapport à cette étude J'expliquerais plutot la proximité génétique avec les bretons, gallois cantabrique et galliciens par le commerce maritimes vecteur d'échange génétique.
(vaste sujet sur les marins qui sont attendus par une femme dans chaque port
)
Martin-Paul a écrit :
étonnant et un peu inattendu ! la proximité que donne ces analyses entre basque, irlandais (et écossais), cantabriques et Gallois alors que les Catalan semblent plus différents.
Il y a aussi un graphique qui montre une proximiyté avec les suédois mais plus précisemment les Samis (ou Lapons) du nord de la suède. Ce fait là renforce l'hypothèse d'une population autoctones repoussée par l'invasion indo-européenne.