Hugues de Hador a écrit :
Bonjour Jovien
je n'ai pas de réponse définitive à votre question. Je vais juste apporter des informations supplémentaires.
Certaines cavalerie antiques (cataphractaire ) protégeaient les chevaux pat une armure lamellaire -> preuve qu'il était nécessaire de protéger les chevaux.
Les Perses, Les Mongols médiévaux, les armées timourides utiliseront également ce type de protection pour les chevaux (et l'arme à feu n'existe pas encore).
Les flèches peuvent très bien blesser un cheval. De plus, au début de l'utilisation des armes à feu, elles ont moins de pouvoir de pénétration qu'une flèche ou qu'un carreau d'arbalète.
Et, il n'est pas imbécile de protéger le cheval des coups d'épée ou de lance. Donc, la présence d'une protection est utile. Lorsqu'elle deviendra inutile, on l'a supprimera de manière à redonner au cavalier de la vitesse, ce qui se révèlera pendant un temps la protection la plus efficace.
Hugues de Hador a écrit :
Dans un traité militaire arabe sur l'archerie montée, l'auteur conseil de viser l'arçon. De cette manière, si la flèche est un peu trop haute c'est le cavalier qui est touché et si la flèche est un peu trop basse, c'est le cheval qui est touché.
Intéressant et logique (après réflexion). Merci de ce témoignage.