isatis a écrit :
Tout à fait exact: au Moyen Age, on ne se préoccupait pas des "sorcières"!
Les derniers bûchers de "sorcières": Salem, fin XIXème.
1692, il y en a eu après !
Citer :
Pas mal de rebouteuses et de femmes ayant la connaissance des plantes ont été taxées de sorcellerie. En parallèle, l'Eglise tend à retreindre l'exercice des "soins de santé" aux seuls hommes, en excluant les femmes, et sous l'égide des universités, à soumettre les "soins de santé" sous les médecins: apothicaires, barbiers (ancêtres des chirurgiens).
Je trouve ça réducteur. D'abord, on a aussi brulé des sorciers, des loups-garous (pas de louve-garou autant que je sache), etc. Ensuite c'est évacuer un peu vite l'obsession du Diable et de son influence qui s'est développée tout au long du moyen-âge. Un exemple du treizième siècle :
http://bouquinsblog.blog4ever.com/dialogus-miraculorum-cesaire-de-heisterbach. Quelque jugement qu'on porte dessus, il y avait bien une psychose, formalisée par le
Malleus...