Aucun de ces trois auteurs cité n'a traité de l'enseignement de l'histoire en Turquie ; il est donc tout à fait normal qu'ils n'aient rien relevé du tout.
Quant à comparer ce que subissent belges, suisses et turcs je vous laisse seul juge.
Citer :
Les deux passages que vous citez sont des traductions mais je peux apposer ma signature sans réserve. A Moena ou à Faymonville, les habitants entretiennent et transmettent en héritage une particularité qui est devenue une composante de leur identité. On les a appelés: "les Turcs", ils l’ont parfaitement intégré et assimilé et cultivent cette identité, qui relève de leur folklore local certes, mais qui fait leur fierté. Lisez les détails dans l’article et regardez les photos. Nul ne les oblige à réaliser de tels festivals turcophiles. Pareillement, c’est eux-mêmes qui ont choisi des références turques : drapeaux, emblèmes, costumes, décorations, dénominations,…
Si l’on y ajoute le récit conté par les aînés faymonvillois qui racontent, émus, que le drapeau turc flottant sur leur village les a sauvés des bombardements nazis, la fierté identitaire, même folklorique, se voit décuplée et encore plus profondément enracinée.
Je vais être un peu brutal mais votre analyse manque un peu de recul. Je ne suis pas un spécialiste de l'analyse de ce genre de fait mais j'ai quelques doute quant au fait que cela relève d'un attachement identitaire à la Turquie. Sinon je ne vois pas en quoi un bombardement nazi pourrait avoir été évité par ce drapeau ... Enfin passons...