Les actions du type l’encyclique Mit brennender Sorge du 10 mars 1937 qui « invite à la résistance » étaient indispensables tant qu’on pouvait craindre à la pérennité du nazisme.
D’un point de vue stratégie on peut supposer qu’à partir du début du conflit armé, faute de disposer d’une armée et de pouvoir agir, il était trop risqué pour les civils de s’agiter inutilement.
Les archives des ambassades des différents pays du conflit armé pourraient témoigner de la nature des relations entre le Vatican et les différents belligérants.
Deux premiers exemples pris au hasard d'une simple recherche :
Vichy et le Saint-Siège : quatre ans de relations diplomatiques, juillet 1940-août 1944
Citer :
Elle décrit également, en dépit des avances faites par Vichy à l’Eglise, la méfiance croissante provoquée au Vatican par la politique du régime : dérives autoritaires, mesures anti juives, alignement sur le Reich. Elle relate enfin le rapprochement qui s’opère avec la France libre et aboutit, après l’effondrement du régime et le retrait de son ambassadeur, à la reconnaissance du Gouvernement provisoire de la République..
http://www.theses.fr/2013IEPP0067Ce document semble intéressant :
La Voix du Vatican (1940-1942). Bataille des ondes et résistance spirituelle
http://www.persee.fr/doc/rhef_0300-9505 ... 4_173_1621Voir aussi sur PH :
Hitler et le christianisme
viewtopic.php?f=49&t=31224&start=45Le choix de ces liens ne résulte pas d'une sélection volontaire orientée, il en existe peut être d'autres à charge ?