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Message Publié : 16 Jan 2017 18:14 
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Plutarque
Plutarque
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Battleground Berlin de Murphy, Kondrashev et Bailey dit que les Soviétiques n'ont autorisé les forces occidentales à venir dans Berlin que le 4 juillet 1945, date à laquelle les forces américaines leurs cédaient parallèlement les zones d'occupations prévues ailleurs en Allemagne.


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Message Publié : 16 Jan 2017 21:52 
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Jean Mabillon
Jean Mabillon

Inscription : 16 Jan 2010 19:18
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Les premières troupes stationnées officiellement y arrivent le 3 juillet 1945,ce sont des chasseurs d 'Afrique et des Zouaves Le burnous pour un chasseur d'Afrique ça correspond pour l'instit pied-noir.


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Message Publié : 17 Jan 2017 8:48 
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Jean Mabillon
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Les détachements précurseurs s'étaient joints à la colonne américaine partie pour Berlin et que les américains enregistrent comme présente à Berlin le 4 juillet.


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Message Publié : 17 Jan 2017 18:03 
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Marc Bloch
Marc Bloch
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Sir Peter a écrit :
Les premières troupes stationnées officiellement y arrivent le 3 juillet 1945,ce sont des chasseurs d 'Afrique et des Zouaves Le burnous pour un chasseur d'Afrique ça correspond pour l'instit pied-noir.

Merci Sir Peter, je n'ai pas su trouver le renseignement, à part la date, malgré mes recherches. Quelle est votre source ?

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" Je n'oublie pas le Colonel Arnaud Beltrame "


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Message Publié : 17 Jan 2017 18:31 
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Jean Mabillon
Jean Mabillon

Inscription : 16 Jan 2010 19:18
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J'ai trouvé cela sur le net,ça devrait provenir d'un site officiel français,mais lequel ?Sur un site de médailles le 7ème ch A est même présenté comme ayant fait partie des détachements précurseurs....????


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Message Publié : 17 Jan 2017 19:13 
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Jean Mabillon
Jean Mabillon

Inscription : 16 Jan 2010 19:18
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Sur ce site,j'ai trouvé le témoignage parlant du 1er R Ch A :Gouvernement Militaire français de Berlin
[url]ekladata.com/HsfUaqdi31GzolZtcyCvSXKbYcs/GMFB.pdf[/url]
Il peut y avoir confusion entre le 1 et le 7 si lecture Anglais>Français


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Message Publié : 08 Juin 2017 19:18 
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Salluste
Salluste

Inscription : 13 Fév 2010 8:36
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Ma grand-mère maternelle vivait dans une ville du nord-est de l'Iran, quand les soviétiques sont arrivés tout le monde a eu très peur, mais apparemment ils n'étaient pas à craindre. Pris de pitié face au dénuement matériel des soviétiques, la population locale a tenté d'adoucir leur sort en leur offrant à manger. Selon elle c'était des asiatiques (ouzbek, kazakh...)
Ma grand-mère paternelle s'est cachée quelque temps parce que sa mère était juive, après je n'ai pas bien compris pourquoi mais elle est sortie de sa cachette et a fini la guerre "tranquillement "(par rapport au sort qui lui été réservé ).
Son futur beau-père (le père de mon grand-père paternel) était médecin militaire, après la démobilisation il s'est installé à la campagne où en tant que notable il recevait des officiers allemands. Quand le maquis s'est réveillé dans son coin il en a soigné quelques uns.


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Message Publié : 08 Sep 2019 7:16 
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Thucydide
Thucydide

Inscription : 07 Mars 2009 10:13
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Localisation : Burdigala
Bonjour,

- Branche "maternelle" :
Mon grand-père a été en captivité durant cinq ans à l'Oflag XVII, en Autriche. Comme tout officier qui se respecte, il a fait quelques, infructueuses, tentatives d'évasion, ce qui n'a pas amélioré ses conditions de détention. Il nous a laissé de cette période un récit dactylographié d'une trentaine de pages, plein de sarcasmes et d'amertume...
Son frère, mon grand-oncle, n'a pas été "sur le front" pour cause de tuberculose. Il n'est cependant pas resté inactif : Engagé chez les FTP, il a dirigé un maquis du côté de Montauban (où il était connu sous le pseudo de "lieutenant Ricou") et s'était spécialisé dans le sabotage de lignes téléphoniques.
Pendant ce temps, ma grand-mère et ma mère (née en mars 40) étaient réfugiées à Brax, une commune limitrophe d'Agen. J'ai encore en mémoire le récit de ma grand-mère qui me racontait que, pour nourrir sa fille, elle était obligée de faire, toutes les nuit, un périple de vingt kilomètres à vélo, pour aller acheter du lait dans une ferme...

- Branche "paternelle" :
Mon grand-père, paysan à Tavaux (Jura), a servi comme simple matelot de seconde classe à Toulon, où il était affecté au service des pigeons voyageurs. Chargé de famille (cinq enfants et une épouse alors malade),il a été démobilisé bien avant le sabordage de la flotte, en 1942. Lui non plus n'est pas resté inactif : la ferme, à proximité immédiate de l'aérodrome de Dole-Tavaux, était sur la Ligne de démarcation... Je me souviens, enfant, avoir joué dans le "trou", que mon grand-père avait creusé derrière le tas de fumier, pour y protéger les siens lors des bombardements alliés sur l'aérodrome tout proche, mais qui auparavant avait servi à planquer quelques adeptes du franchissement clandestin de "la Ligne"...

Cordialement

_________________
« Il vaut mieux se résigner à ne rien dire et à ne point courir le risque de trop s'éloigner de la vérité. » - Camille Julian, "Histoire de Bordeaux", 1895


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Message Publié : 08 Sep 2019 16:36 
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Jean Froissart
Jean Froissart
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Inscription : 23 Déc 2004 18:02
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Localisation : Généralité de Riom & Bourbonnais
bonjour Vieillescazes

dans quelle unité de l'Armée Française était donc votre grand-père maternel officier en 1939-1940?


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Message Publié : 08 Sep 2019 18:09 
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Grégoire de Tours
Grégoire de Tours

Inscription : 28 Avr 2019 3:29
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Branche maternelle:

En Bretagne, ma grand-mère a commencé avec un fiancé, tué dans les premiers jours de la guerre, en mer, mitraillé par un navire Allemand. Ensuite, pour elle c'était "mon village à l'heure allemande", l'occupation, les premiers mots allemands qui faisaient leur apparition dans la vie de tous les jours, la Kommandantur installée dans la plus belle résidence du village (Liliane Bettencourt y habitera après la guerre). Elle se porta volontaire avec la Croix-Rouge pour parrainer un prisonnier français et lui envoyer des lettres et colis.

L'homme qu'elle épousa, mon grand'père, était un jeune journaliste, mobilisé puis fait prisonnier, qui a passé la guerre dans un Stalag près de Cologne. Sa captivité fut difficile physiquement. Il travaillait dans une usine chimique fabricant des encres, il en a ramené des problèmes de santé qu'il traîna jusqu'à sa mort en 1975. Ce qui a adouci sa captivité, ce furent les lettres et colis envoyés par sa "marraine de guerre" via la Croix-Rouge, qu'il épousa à son retour en France.

Image

Branche paternelle:

Ma grand-mère, jeune fille, a vécu l'occupation à Paris, puis a rencontré mon grand'père à la libération.

Mon Grand'père, qui est né et a grandi à Casablanca, s'est engagé en novembre 1942 quand les Américains ont débarqué au Maroc. Il a fait la campagne d'Afrique du Nord dans les Corps-Francs avec les forces françaises intégrées à l'armée américaine. Après la campagne de Tunisie, en Mai 1943, l'armée de Leclerc se réorganise au Maroc et devient la 2e Division Blindée, sur le modèle des brigades américaines, avec des Combat Command (groupements tactiques interarmes adaptées aux conditions du combat). La 2e DB est regroupée au camp de Temara (Maroc), où elle parfait son entraînement et intègre les nouvelles unités. Au printemps 1944, il est envoyé en Angleterre, où la 2eDB est intégrée à la 3e armée américaine de Patton, et entièrement équipés par les États-Unis, avec 4 000 véhicules américains, dont les chars Sherman sur lesquels mon grand'père est affecté. Stationné pendant deux mois dans la campagne anglaise dans la région du Hull, dans le Yorkshire, au Nord-Est de l'Angleterre, autour du château de Dalton Hall, en vue de la grande opération « Overlord », le débarquement en Normandie. De ces deux mois, mon grand'père a gardé un très bon souvenir de l'hospitalité et de l'optimisme anglais, ainsi qu'envers les Américains fournissant matériel et entraînement.

Mon grand'père met le pied pour la première fois sur le sol de France en débarquant à Utah Beach lors de l'opération Overlord. Commencée le 6 juin 1944, elle s'est poursuivie tout l'été et la 2e DB arrive en renfort après les premières vagues. La campagne de Normandie est âpre: à peine débarqués les hommes de Leclerc sont au coeur des combats. La 2e DB libère Alençon le 12 août 1944, si rapidement que Patton fait de la 2e DB son fer de lance de l'attaque vers Argentan pour fermer la poche de Falaise.

Après la Normandie, l'objectif est Paris. La 2e DB entre Porte d'Orléans, et la foule les accueille avec enthousiasme. Comme ses camarades, mon grand'père, juché sur son char Sherman, distribue des barres de chocolat aux parisiens, et surtout aux Parisiennes, dont ma grand'mère... qui n'y fut pas insensible. Le chocolat est pour beaucoup dans notre histoire familiale.

Image

Ensuite, c'est de nouveau les affrontements, âpres, vers la Moselle et les Vosges, contre les panzers de Manteuffel et Feuchtinger. Puis il termine le parcours avec la 2eDB: Strasbourg, puis la traversée du Rhin, Dachau, et enfin Berstesgaden. De retour à Paris, il épousa ma grand'mère.

_________________
Image message du Loire au Dalgonar, oct. 1913


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Message Publié : 08 Sep 2019 18:17 
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Jean Froissart
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Inscription : 23 Déc 2004 18:02
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Localisation : Généralité de Riom & Bourbonnais
Bonjour Darwin

même punition que Vieillescazes

dans quelle unité de l'Armée Française était donc votre grand-père maternel en 1939-1940??

Citer :
L'homme qu'elle épousa, mon grand'père, était un jeune journaliste, mobilisé puis fait prisonnier,


si vous avez son nom et pas l'unité voir les listes de prisonniers sur Gallica


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Message Publié : 08 Sep 2019 18:23 
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@Vieillescazes :

Le village de Tavaux a sévèrement dérouillé du fait des bombardements anglo-saxons.

C'est un village-rue, allongé le long de la nationale qui va de Dole (à 10 km) à Chalon/Saône. Parallèle, mais décalé de 3 km, se trouve la piste d'aviation - actuel aéroport Dole-Tavaux - que les habitants appelaient le camp.
Et ça n'a pas raté : au premier bombardement - on est début 44 - il faut croire que les aviateurs se sont un peu trop alignés sur la Nationale, parce que c'est le village qui a dérouillé : plusieurs dizaines de maisons détruites, certaines incendiées, presque autant de morts, mais la piste est restée indemne.

(A "Tavaux-cité", un ensemble de maisons ouvrières de Solvay et de résidences - pour les ingénieurs - un peu écarté de "Tavaux-village", c'est encore très net aujourd'hui, il est malgré tout tombé pas mal de bombes. Ma mère était réfugiée à la cave avec ses parents, et mon oncle, plus âgé, 12 ans à l'époque, me disait :"quand tu es appuyé contre le mur de la cave et que tu sens la maison qui bouge, tu ne fais pas le malin !")
La résistance a transmis l'information que le bombardement avait échoué (On trouve dans "Mes camarades sont morts", de Pierre Nord, la copie d'un envoi récapitulatif, qui comprend la mention : "Tavaux - à refaire" !) Le second bombardement semble avoir été réussi.

A propos de trou dans le jardin, mon oncle riait encore, des années après, d'un grand oncle - que j'ai connu maire de Tavaux - qui s'était échiné à creuser et couvrir un grand trou dans son jardin : total, l'alerte donnée alors que les premières bombes commençaient à tomber, il est resté dans sa maison... et une bombe a éventré l'abri dans le jardin. La vie peut-être taquine... :mrgreen:

_________________
Les raisonnables ont duré, les passionnés ont vécu. (Chamfort)


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Message Publié : 08 Sep 2019 18:24 
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Grégoire de Tours
Grégoire de Tours

Inscription : 28 Avr 2019 3:29
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Loïc a écrit :
si vous avez son nom et pas l'unité voir les listes de prisonniers sur Gallica

Loïc, merci de cette référence! Je viens de le trouver! 2e Cl. 24e Tr. 172.

_________________
Image message du Loire au Dalgonar, oct. 1913


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Message Publié : 08 Sep 2019 19:04 
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Jean Froissart
Jean Froissart
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Inscription : 23 Déc 2004 18:02
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Localisation : Généralité de Riom & Bourbonnais
D'accord %1 c'était donc un soldat du Train mobilisé dans une des nombreuses compagnies du 24e Train mises sur pied au Fort d'Ivry en région parisienne

172 c'est le fronstalag de France occupée avant le départ pour l'Allemagne


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Message Publié : 08 Sep 2019 19:36 
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Thucydide
Thucydide

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Bonsoir,

Loïc a écrit :
dans quelle unité de l'Armée Française était donc votre grand-père maternel officier en 1939-1940?

C'est un point que j'ai oublié, et n'étant pas détenteur le détenteur de son récit, il faut que je me renseigne auprès de ma mère. Je crois cependant me souvenir qu'il avait le grade de lieutenant.
Comment fait on pour trouver les listes de prisonniers sur Gallica ? En effet, je me souviens des noms d'au moins deux de ses camarades d'infortune

Pierma a écrit :
Le village de Tavaux a sévèrement dérouillé du fait des bombardements anglo-saxons.
C'est un village-rue, allongé le long de la nationale qui va de Dole (à 10 km) à Chalon/Saône. Parallèle, mais décalé de 3 km, se trouve la piste d'aviation - actuel aéroport Dole-Tavaux - que les habitants appelaient le camp.
Et ça n'a pas raté : au premier bombardement - on est début 44 - il faut croire que les aviateurs se sont un peu trop alignés sur la Nationale, parce que c'est le village qui a dérouillé : plusieurs dizaines de maisons détruites, certaines incendiées, presque autant de morts, mais la piste est restée indemne.

Effectivement, encore de nos jours, mon père et mes tantes évoquent "le camp" lorsqu'ils parlent de l'aéroport.
Citer :
A "Tavaux-cité", un ensemble de maisons ouvrières de Solvay

Un de mes grand-oncles le généalogiste de la famille, habitait Tavaux-cité il était remonté jusqu'aux années 1600 et découvert que notre plus lointain ancêtre connu était natif de Chaussin, à quelques kilomètres de là.
Citer :
On trouve dans "Mes camarades sont morts", de Pierre Nord, la copie d'un envoi récapitulatif, qui comprend la mention : "Tavaux - à refaire" !

Je vais tâcher de me procurer cet ouvrage. Je serais d'ailleurs intéressé par tout ce qui concerne cette période tavelloise (Occupation et Libération) afin d'enrichir l'histoire familiale

M'excusant d'avoir été quelque peu hors-sujet... :oops:

Cordialement

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