Rebecca West a écrit :
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Ensuite, à l'université, étant entendu que c'est normalement là qu'on doit apprendre l'autonomie, il manque tout de même un minimum de suivi individuel.
L'autonomie s'apprend dès les premiers pas. Avec le fait d'aller de l'avant, avec les "ici, c'est interdit et là tu peux, fais ainsi ou pas, nous verrons...". Mais là encore il est préférable de souhaiter des vacances de neige avec moniteur pour les enfants. Peut être avons-nous un peu perdu le sens des priorités, des valeurs, des mots, des gestes.
Rebecca toujours aussi irritante dans le papotage... Nan, vraiment, vous ne voyez pas que c'est répondre à côté ? On ouvre un débat philosophique sur la notion d'autonomie, ou vous pouvez entendre que les étudiants passent du lycée, où ils sont suivis de près, et où les exigences des profs peuvent suffire à réussir, à l'université ou on ne réussit pas sans un travail supplémentaire de sa propre initiative ?
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... qu'il n'y ait personne pour lui expliquer qu'il se fourvoie - et éventuellement lui fournir une piste sensée - me choque.
Qui l'aurait fait ? Le baccalauréat est à 18 ans bien souvent ---> majorité.
Voila une bien mauvaise raison pour ne pas faire un minimum de conseil, d'orientation, et de suivi individuel. Combien en ais-je vu qui abandonnaient après 2,3, et jusqu'à 4 ans passés dans une filière littéraire, sans en retirer aucun bénéfice autre que personnel ? (En pratique il y a des ponts possibles vers des filières plus professionnels, à partir de la L3, voire L2, mais qui le leur dit ?)
Sans parler des 50% d'échec dès la 1ère année... Dans un monde où la ressource principale des entreprises est la matière grise, c'est un gâchis collectif.
La sélection et l'orientation initiales remplacées par une sélection par le découragement...