Le sel des vallée alpine est du sel de mine et pas du sel de mer donc peu d'iode.
Si on déborde de la préhistoire on peut signaler la
civilisation de Hallstatt qui doit sa prospérité à ses mêmes mine de sel.
Au sahel de grande plaques sont extraite des salines puis
transporté à dos de chameau. A la fin elles sont découpées en plus petits morceaux qui servent de monnaie (phénomène qu'on retrouve chez les romains d'où l'origine du mots salaire). Il n'y a pas de monnaies, pas grave on utilise le troc et cela marche sur de longue distance, ex l'obsidienne de Catal Huyuk en Turquie qui a été retrouvé au Yémen et en Iran. Ou encore l'ambre de la Baltique à l'âge du bronze, pas de monnaie en Europe du nord et pourtant il s'est retrouvé en Grèce et en Egypte.
Le transport du sel ne pose aucun problème tant qu'il y a un chemin praticable à pied. On peu citer l'empire commercial des
Chibchas en Colombie. Ils pratiquaient la métallurgie de l'or ce qui a poussé les espagnols à les envahir pour s'approprier leur or et leurs mines d'or. Or par de mine d'or sur leur territoire par contre des sources salée dont ils extrayaient le sel pour l'échanger à des groupes voisin qui eu avaient de l'or. Et ceci en l'absence de grandes routes et de bête de somme (pas de lama dans leur région), uniquement à pied et en pirogue.
En nouvelle Guinée il y eu aussi
exploitation de source salées et commerce (et pourtant c'est l'horreur pour commercer : terrain densément couvert et hautes montagnes, pas de bêtes de somme, guerres tribales).
Dans certains endroits qu'ils disposent de sources salées ou non ils ne les employaient pas mais
fabriquaient du sel végétal en brulant des végétaux puis en récupérant les cendre pour ensuite les filtrer et les concentré par chauffage dans des fours. Le sel qu'il soit d'origine végétal ou minérale était ensuite transporté dans des bambou ou dans des paquets de feuilles tressées.
Le sel végétal contient très peu de chlorure de sodium (NaCL) mais beaucoup de chlorure de potassium (KCL).