Aigle a écrit :
Et si tout simplement la paresse et les caprices n'étaient qu'une façon pour l'enfant de protester contre le sort qui lui est fait ?
Pour "
protester contre le sort...", les enfants agissent par analogie, comparaison. Là, il n'y a pas lieu.
Comment un enfant peut embrasser "
le sort qu'il lui est fait" ?
On verra ultérieurement un archiduc regimber face à une éducation jugée "à la dure" mais c'était bien autre chose.
Maintenant, il est assez courant de lire que les enfants de Marie-Thérèse Ière (prenons M-Antoinette) était paresseuse à l'étude.
La jeune M-Louise n'a certainement pas pu bénéficier des meilleures conditions d'éducation ; quant à NB, il semblerait qu'il ait fait partie de la "moyenne" lors de sa période "scolaire" et hors le roman.
Je songe au programme dont avait bénéficié le futur Alexandre Ier : latin, grec, français parlé couramment, anglais de même, russe et ajoutons à ceci physique, mathématiques, sciences sous toutes les formes + éducation militaire etc.
C'était un peu la même chose à la cour des Habsbourg... Mais si Catherine II fera en sorte que ses deux petits-fils aînés aient des journées "aérées", il n'en était pas de même à Vienne.
Citer :
Le portrait réalisé par Th Lawrence a été réalisé vers 1820 : ce n'est pas à la cour de France mais il montre un visage assez "Bonaparte".
Enfant, il semble que oui malgré la couleur des cheveux et sans doute des yeux. Maintenant si vous regardez les enfants (le fils) de M-Louise et Neipperg (comte de Montenuovo), on ne peut passer à côté d'une ressemblance évidente.
Nous avons tous en tête son visage à l'âge adulte et j'ai du mal à y voir un côté "Napoléon", même en changeant la coiffure, en mettant le fameux chapeau etc.
Maintenant, dans le caractère, ceci se peut fort.
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