.
Bled est nuancé :
[… Il (Bismarck)
apporte son appui aux Républicains (français)
. … Une victoire des Républicains affaiblirait la France en la plaçant dans l'impossibilité de trouver un allié dans une Europe monarchique …].C'est la politique de l'après 71 où le chancelier vit dans la crainte vraie ou simulée d'une France "
revancharde". Il veut aussi l'Allemagne comme plaque tournante des relations diplomatiques, ce qui est difficile vu les tensions russo-autrichiennes.
Walsingham a écrit :
La France est certes la seule république (avec la suisse), mais elle n'est pas la seule avec un "parlementarisme fort". La monarchie belge est plus proche de la république française que de la monarchie allemande ou russe. N'étais-ce donc pas dangereux de se fier uniquement au soutiens familiaux monarchique ?
La question semble concerner l'après conflit de 1871.
Pour le reste personne ne pouvait augurer du futur. La politique de Bismarck était de "renforcer" l'Allemagne tout en gardant un jeu d'équilibre entre Autriche et Russie. Vu la crise de 1875, Bismarck a compris, il endossera le rôle de médiateur... Toujours au profit de l'Allemagne.
Le problème le plus immédiat semblait outre les Balkans, le prochain souverain, Frédéric III.
.