Narduccio a écrit :
"Pour produire beaucoup, il ne faut pas mener les gens à la matraque"
Je pense qu'il faut voir les choses autrement, je puis me tromper.
Si vous "
menez les gens à la matraque" :
1- vous abîmez votre outil de travail ----> pas de rendement.
2- l'outil de travail fonctionne avec un filtre cognitif si plaisir + de travail ----> on optimise le fil et chacun -à son niveau- (on commence le nouvel homme ayons ceci à l'esprit) dans un but collégial (gagner un conflit) qui plait y met tout son coeur avec des moyens optimisés. Par exemple, pour les femmes : les utérus ----> enfants aryens & soldats
Maintenant, il en va autrement pour une autre partie de cette idéologie à savoir ce qui est estimés dès le départ à être éradiqué.
Je ne suis pas très au fait de la GB. Mais fin, sous l'ère victorienne, on crevait (je tiens au verbe) dans certains quartiers de Londres pas même approchés par certaines couches sociales. Il a fallu prendre le problème à bras le corps pour obtenir un résultat qui n'était que passable. Pendant ce temps, quelle que soit ce qui a initié certaines lois, l'Allemagne avait une politique sociale bien plus avancée, comme quoi...
Citer :
Tout ce que je connais du système nazi viens à l'encontre de ce qu'il dit du système nazi.
Peut-être parce-que nous nous focalisons sur les dérives et notre place dans le conflit mondial initié par ce système qui continue à être une véritable claie.
Chapoutot l'exprime en évoquant le pont G et autres anomalies qui tiennent du ressenti et bloquent le processus de compréhension. Nous avons acté que c'était "mal", on passe à autre chose.
Pourquoi certains pays du Nord ont, encore jusqu'au années 70, stérilisé les femmes de certaines "ethnies" ? A-t-on hurlé à ce moment ? Non. Lorsque ceci a paru un peu "too much" et bien les personnes ont été dédommagées comme si une somme quelconque pouvait effacer la mutilation.
En face, l'argent a été accepté. Le refuser eut été mieux mais ensuite ?
C'est idem avec le classement "génocide" ou non avec des critères qui pourraient être revus considérant le moment où le mot est apparu, les conditions, qui imposait sa loi etc. Personne ne semble s'offusquer des "critères" qui font qu'une sorte de "dossier" entre ou non dans les clous.
Est-ce bien dans la normalité ? Est-ce digne d'hommes du XXIème, qui pour un oui ou un non, en font des caisses au niveau des hommages télévisés sans pour autant apporter de réponses ?
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