Theoask a écrit :
Bonjour à tous,
Je me demande cependant: comment étaient traités les soldats allemands qui faisaient du PTSD? Etaient-ils internés à l'hôpital? Pouvaient-ils retourner sur le champ de bataille si les symptômes régressaient?
À quelle période ? C'est ce qu'on dit plusieurs des intervenants : au début de la guerre, les blessés sont très bien traités. Par exemple, en 1942-43, les blessés allemands du front de l'Est sont envoyés en France pour leur convalescence. Ils n'ont droit aux permissions qu'après avoir guéris et être rétablis de leurs blessures. Vers la fin de la guerre, des soldats avec des blessures légères doivent retourner au combat au plus tôt.
En décembre 1943 un décret assouplit les critères médicaux pour combler les pertes dans les rangs on renvoie les hommes le plus rapidement possible au combat. Cela implique par la suite au printemps 1944 une désorganisation des services sanitaires et une détérioration des soins médicaux du traitement des blessures et de la douleur plûtot sommaires. les soins étaient plûtôt brutaux et rapides . pour preuve dans une unité un homme qui a un éclat d’obus à la jambe reçoit un vaccin antitétanique et repart au front en claudiquant. Un manque d’anhéstésiant du à la pénurie de production conduit à opérer sans anésthésie par exemple au 2 ème corps d’armée parachutiste. De nombreuses amputations sont pratiquées et auraient pu être évitées mais elles sont pratiquées selon le corps médicales pour des raisons scientifiques pour sauver plus de vies. En réalité il y’a une volonté économique car on assiste au développement et à la production de prothèses et un individu amputé n’est plus un fardeau pour la socièté mais participe à l’effort économique de la communauté du peuple pour la production de prothèses. Il y a également une différence morale entre les démocraties ou compte le bien être de l’individu et la dictature nationale socialiste ou l’individu est soumis aux droits restreints d’ou la brutalité des soins médicaux. En ce qui concerne les malades de l’estomac une maladie peut etre présente avant guerre . La encore la prise en charge du trouble est répressive car on envoie des malades dans des hôpitaux non pas pour des solutions thérapeutiques mais pour vérification de présence de la maladie dans le but d en renvoyer le plus possible pour prendre par à la défense du Reich.