La plus ancienne source qui mentionne Martin, le Liber historiae Francorum,chapitre 46 dit bien : Martinus et Pipinus iunior, filius Anseghiselo quondam (Martin et Pépin le Jeune, fils de feu Anségisèle). La continuation de la Chronique de Frédégaire, à l'initiative de Nibelung, neveu de Charles Martel, reprend les mêmes termes Martinus dux et Pippinus filius Anseghyselo quondam Franco nobile.
Il faut avouer qu'un texte viennois du XIe siècle cite Pippinus, Ansegelli filius, et Martinus frater eius (Pépin, fils d'Anségisèle, et Martin son frère), mais il s'agit là d'une interpolation tardive d'un des deux premiers textes à partir d'un manuscrit corrompu.
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