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 Sujet du message : Animaux domestiques : le furet
Message Publié : 03 Sep 2005 19:44 
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Jean-Pierre Vernant
Jean-Pierre Vernant

Inscription : 17 Oct 2003 18:37
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Heureux possesseur, depuis quelques mois, d'un furet, en guise d'animal de compagnie, je me posais quelques questions historiques au sujet de ces bestioles.

Comme tout le monde, je pensais que le furet était né de la domestication et de la sélection de souches de putois (beaucoup, comme le mien, ont un pelage très proche du Putois sauvage) pour la chasse au lapin dans les terriers, et que son emploi comme animal de compagnie n'était qu'une invention très récente (c'est la grande mode et les prix flambent).
Or, j'ai lu cet été le fameux récit vieil-irlandais, la Razzia des vaches de Cooley ou Tain Bo Cuanlge (normal vu mon pseudo !). Il se trouve que ce récit, médiéval, mentionne explicitement le furet de compagnie de la reine Medb, qui se tient sur son épaule et que, d'ailleurs, Cuchulainn ou Cuchlainn tue d'une pierre...
Auriez-vous d'autres informations sur le furet dans ce rôle à travers les âges ?


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Message Publié : 03 Sep 2005 19:53 
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Plutarque
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Inscription : 15 Juil 2005 23:14
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Il me semble que les Grecs les utilisaient pour chasser les souris dans les greniers, un peu comme les chats

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Message Publié : 03 Sep 2005 20:16 
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Jean-Pierre Vernant
Jean-Pierre Vernant

Inscription : 17 Oct 2003 18:37
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Ma question porte bien sur le furet comme animal de compagnie :wink:


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Message Publié : 04 Sep 2005 9:22 
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Le furet de compagnie fut en vogue durant tout le Moyen-Age. Il disparut complètement de cette fonction au début du XIXème siècle.

Ce n'est jamais qu'une mode qui revient.

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Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer (Guillaume le Taciturne)


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Message Publié : 05 Sep 2005 9:08 
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Jean-Pierre Vernant
Jean-Pierre Vernant

Inscription : 17 Oct 2003 18:37
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Savez-vous comment on gérait, si j'ose dire, son furet de compagnie ? Toujours en cage, avec soi, en laisse, libre ?
Parce que bon, c'est une bestiole... pas évidente à tenir. ça ne reste pas en place sur les genoux ou l'épaule (mettez-l'y, deux minutes après le voilà perché sur votre tête), et rendre un logement médiéval furet-proof, ça devait être difficile.


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Message Publié : 05 Sep 2005 9:33 
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Inscription : 27 Avr 2004 17:38
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Localisation : Région Parisienne
Je n'en sais fichtre rien. Je n'ai fréquenté les furets qu'à la chasse au lapin. Après, ils retournaient en cage. Je sais que ça bouge pas mal, que ça grignote beaucoup, que ça mordille à l'occasion. Je pense que le furet du Moyen-Age chassait les souris ou le lapin.

Vous plaignez pas, mon épouse a recueilli une chatte il y a quelques années en la nommant Isis.

Elle aurait mieux fait de l'appeler Hiroshima :lol:

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Message Publié : 05 Sep 2005 10:10 
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Philippe de Commines
Philippe de Commines
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Inscription : 23 Oct 2004 9:14
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Localisation : village des Pyrénées
Là aussi, j'ai une chanson (une comptine), signe que cet animal était très connu à l'époque où elle a été écrite (époque que j'ignore):

Il court, il court, le furet
Le furet du bois, Mesdames,
Il court, il court, le furet,
Le furet du bois joli.

Il est passé par ici,
Il repassera par là.

Il court, il court, le furet
Le furet du bois, Mesdames,
Il court, il court, le furet,
Le furet du bois joli.

_________________
"La vie des hommes qui vont droit devant eux, renaitraient-ils dix fois en dix mondes meilleurs, serait toujours semblable à la première. Il n'y a qu'une façon d'aller droit devant soi." (Pierre Mac Orlan)


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Message Publié : 05 Sep 2005 10:18 
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Polybe
Polybe

Inscription : 29 Déc 2004 15:31
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Cher Dédé, vous qui êtes un amoureux de la langue française, vous avez du remarquer dans cette chanson une superbe contrepèterie ( involontaire ) quelque peu irrévérencieuse pour le clergé...

:D

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" la guerre, ça commence toujours par des heures héroïques, et ça finit toujours par des minutes de silence "


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Message Publié : 05 Sep 2005 10:44 
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Philippe de Commines
Philippe de Commines
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Localisation : village des Pyrénées
Amoureux de la langue, des chansons, et grand mangeur de ... furés, tradition radicale du Sud-Ouest :lol:

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 Sujet du message : lE FURET
Message Publié : 23 Oct 2005 16:45 
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Hérodote
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Localisation : Seine-Saint-Denis
J'ai pleinement conscience d'être hors sujet même si je traite un tout petit peu du furet. mais, pour sourire :( sur le sujet, un long passage de A.Toussenel, naturaliste reconnu du XIX ème siècle, aujourd'hui totalement méconnu: on peut dire heureusement…mais dont les histoires étaient racontées aux enfants jusqu'au début du XX ème siècle.

Le chemin, mêlant nature et politique, est long pour arriver au furet mais le texte est assez savoureux et vaut son besant d'or pour que je ne me prive du plaisir de le mettre en entier…Heureusement, le XIX ème siècle nous a légué des Naturalistes d'une autre trempe comme Jean Henri FABRE entre autres…

La préface de son ESPRIT DES BETES, dont est tiré ce long extrait, précise:

Citer :
On se demande tous les jours quels livres resteront de notre époque. Il semble que les contemporains écrasés par la quantité ne soient pas de force ou d'équité à distinguer la qualité, à séparer les perles vraies des perles fausses. Rassurons nous, la postérité ne sera pas si embarrassée que nous mêmes. Si elle doit laisser tomber dans l'abîme de l'oubli beaucoup de livres qu'une vogue imméritée semble recommander de préférence à ses suffrages, il en est d'autres, et en assez grand nombre qui, après ces éphémères disparus, demeureront pour elle les titres de notre siècle. Les livres de Toussenel compteront parmi les plus incontestables.


Dans le chapitre III, DES BETES A DETRUIRE, notre ami des animaux (!) écrit longuement sur les BETES PUANTES…

Citer :
Le SANGLIER n'est pas un animal inodore, ni le DAIM non plus, ni le CERF dans la saison des amours. Cependant nul n'a songé à désigner ces animaux sous le nom de bêtes puantes . Cette dénomination caractéristique a été réservée pour les races infimes vivant de rapines et d'assassinats sans péril, se recelant communément dans quelque souterrain manoir et empoisonnant l'atmosphère d'odieuses senteurs. Qui dit bête puante, dit FOUINE ou RENARD, bien que ces deux bêtes appartiennent à deux familles différentes. L'homme qui les confond dans sa haine, éprouve le besoin de les confondre dans la même appellation de mépris. Le blaireau n'a pas moins de droits que le renard à figurer sur cette liste d'ignobles larrons et d'ignobles assassins, et je l'ai rangé dans cette catégorie.

La FOUINE, le type le plus connu de ce groupe que j'ai nommé à bon droit des égorgeurs ou des buveurs de sang mais aussi le PUTOIS et tous les mustiliens ont été dotés par le Créateur d'une poche membraneuse, située dans le voisinage de la queue et qui sécrète une odeur odorante. Chez les bêtes puantes de nos climats, cette odeur, qui offre une analogie remarquable avec celle des pastilles du sérail de la rue Vivienne, n'est que repoussante. Elle est plus que fétide, elle asphyxie et empoisonne chez les espèces de l'Amérique centrale, connues sous le nom significatif de MOUFFETTES , le CHINCHE, la ZORILLE etc. On a dans ce pays là des exemples de personnes asphyxiées et suffoqués dans leur lit par l'odeur d'une mouffette, et il suffit du passage de l'une de ces bêtes par un grenier, un fruitier, une cave, pour en gâter toutes les provisions, pour rendre tous les comestibles, touchés par l'odeur, immangeables, toutes les boissons impotables.

On dit bien que la MOUFFETTE d'Amérique ne cherche à tirer parti de sa propriété asphyxiante que lorsqu'elle y est contrainte par la force; mais je ne crois pas à cette excuse de légitime défense. Les bêtes de cette catégorie là doivent faire le mal pour l'unique plaisir de le faire.

Quoi qu'il en soit, c'est dans cette famille des buveurs de sang que se rencontrent les animaux porteurs de fourrures les plus fines et les plus recherchées, ce qui a donné ailleurs, en Amérique et en Sibérie, par exemple, un immense intérêt à la chasse des bêtes puantes. La MARTRE ZYBELINE appartient à cette race; elle habite la Sibérie, où l'impôt se paye en fourrures; une peau de ZIBELINE russe se vend encore aujourd'hui cent francs. La ZIBELINE du Canada ne vaut pas le cinquième de cette somme; la MARTRE de nos forêts encore moins. Une peau de MARTRE ou de FOUINE se trouve très bien payée en France au prix de dix à douze francs.

L'analogie donne la raison de la soif de sang dont cette espèce est perpétuellement altérée, comme de l'odeur insupportable qu'elle exhale, comme de la soyeuseté et de la solidité de ses vêtements.

Les buveurs de sang (mustiliens de l'Institut) sont les animaux les plus sanguinaires de la création, parce qu'ils symbolisent les petits voleurs, les petits assassins, les empoisonneurs comestibles, (mouffettes), les falsificateurs de boissons, et parce que les manigances de tous ces infimes industriels, qui pullulent dans les limbes de la civilisation, font périr infiniment plus de monde que le canon et la baïonnette. Le comptable des vivres de la marine ou de la guerre, qui rogne à son profit la ration du soldat, et les falsification de sulfate de quinine, nous ont tué cent fois plus de soldats que les Arabes depuis 1830.

La FOUINE et le PUTOIS doivent à l'élasticité de leurs cartilages intercostaux une souplesse d'échine qui leur permet de s'insinuer par les fissures les plus étroites dans le colombier et le poulailler, où les méchantes bêtes se noient dans le sang, s'enivrent de meurtre, tuent pour le plaisir de tuer. Cette souplesse d'échine et cette soif inextinguible de sang nous représentent l'avidité insatiable, la rouerie et l'astuce de l'usurier, de l'homme de loi, du plaideur et du légiste, qui glissent à travers les plus étroites fissures du Code, et frisent quelquefois les galères, pour pénétrer dans les ménages des industrieux, entortiller les pauvres travailleurs et les saigner à blanc.

La FOUINE est sans pitié; elle égorge tout dans le poulailler. Ainsi le juif qui a soutiré la dernière goutte d'or des veines de sa victime, la jettera sur la paille, l'enfermera à Clichy, fera vendre ses meubles, sans pitié pour la malheureuse famille que la détention de son chef va laisser en proie à la misère et aux terribles suggestions de la faim.

C'est principalement sur les espèces innocentes, le PIGEON, la POULE, le FAISAN,le LAPIN que la fouine et le PUTOIS assouvissent leur rage sanguinaire. C'est toujours aussi sur le faible, sur le pauvre industrieux des cités, sur l'humble travailleur des champs que se rejettent avec amour le filou, le parasite, l'usurier. La MARTRE habite les forêts et la FOUINE les maisons des champs, pour dire que l'industrie agricole est celle qui a le plus à souffrir des fourberies de la chicane et de l'usure.

L'adhérence remarquable du poil à la peau qui fait la valeur des fourrures, symbolise l'avarice de tous les industriels, hommes de loi, trafiquants de paroles mensongères, hommes de négoce, débitants de denrées falsifiées. Rien d'égal à la ténacité du lien qui attache ces misérables à leurs pièces, à leur or mal gagné.

L'odeur infecte qui s'exhale du corps de ces bêtes puantes, c'est la concussion, l'agiotage, le viol, l'assassinat, qui transsudent d'un corps social gangrené et pourri, d'un corps social en puissance de Juif, comme la France d'aujourd'hui.

Voulons nous guérir le corps social de ses infamies et purger les campagnes de la bête puante? Le moyen est le même; il a, de plus, l'avantage d'être extrêmement facile.

Le moyen de fermer les plaies de la société et de détruire la FOUINE consiste à substituer la fraternité à l'égoïsme, la solidarité à la divergence, l'association au morcellement…

Supprimons la propriété morcelée, qui est la poule aux œufs d'or de la chicane, de l'hypothèque et de l'usure, voici le plaideur subtil, l'interprète juré du code, le débitant de papier timbré qui ferme boutique. Changeons les cinq cents misérables masures qui font l'orgueil des villages civilisés en un splendide palais communal; remplaçons les cinq cents granges couvertes en chaume, et trouées et effondrées de toutes parts , en une vaste et unique grenier à fourrage communal, à l'inviobalité duquel veillent de nombreux agents...Aussitôt toutes les bêtes immondes qui s'engraissent de la ruine du laboureur, FOUINES, PUTOIS,RATS, CHARENCON, etc., disparaissent pour jamais…

Entre toutes ces bêtes de rapine, la MARTRE est la plus grande par la taille, comme la plus précieuse pour sa fourrure; elle vit presque constamment sur les arbres, où on la rencontre dans les cavités des vieux chênes et quelquefois dans les nids d' ECUREUIL. J'en ai vu dans le temps un couple dans le jardin des Tuileries où elles ont dû faire une consommation effroyable de jeunes corbeaux et de jeunes ramiers. J'en revis une fois par la neige en janvier 1845. J'ai connu dans le même quartier et vers la même époque un renard évadé de la montre d'un fourreur de la rue St Honoré, qui avait trouvé un asile dans ces tumulus de blocs de marbres et de pierres de taille qui encombraient alors la cour du Louvre, derriere le manège. On distingue la MARTRE de la FOUINE à la couleur de sa cravate; la MARTRE affectionne pour cet ornement la couleur verdâtre; la FOUINE préfère le blanc.

Le VISON, dont le nom est devenu, en certains pays, comme celui du BOUC et du RAT mort, un terme de comparaison vulgaire pour la puanteur, est une espèce tout à fait voisine de la FOUINE pour la couleur et pour la taille.

Le PUTOIS, plus petit que les trois espèces précédentes, semble être le type primitif du FURET. Il s'apprivoise, en effet, presque aussi facilement que celui-ci et porte sous le menton une plaque de satin blanc. Il habite les tas de bois et les ponceaux des routes, et c'est l'espèce dont le nom revient le plus fréquemment dans les malédictions des ménagères.

La BELETTE, l'HERMINE, l'HERMINETTE, sont des diminutifs de la FOUINE, de petits moules mignons d'où a disparu en partie l'odeur fétide, mais où l'humeur sanguinaire est restée. On rencontre tous les jours dans les champs et dans les garennes des cadavres de lapins et de lièvres, dont l'autopsie fait découvrir qu'ils ont été saignés à la jugulaire par d'habiles praticiens. Ces praticiens sont des BELETTES un peu plus grosses que des SOURIS, moins fortes que des rats.

La GENETTE est un charmant animal plus facile à trouver en Algérie qu'en France et, constituant l'ambigu, l'anneau de transition entre les Mustiliens et les Félins.

De toutes ces bêtes là, je le répète, la meilleure ne vaut rien; seulement faut il faire exception à l'anathème universel en faveur du FURET, qui s'est rallié à l'homme et lui a apporté l'utile concours de son antipathie pour le LAPIN


En conclusion de ce chapitre sur les BETES PUANTES, notre naturaliste rappelle que:

Citer :
L'HERMINE blanche est très rare en France. Je ne me rappelle pas en avoir vu plus d'une dizaine et en avoir tué plus de cinq ou six dans une carrière de quarante années de chasse. L'HERMINE porte une robe rousse pendant la belle saison; elle n'endosse sa pelisse blanche qu'à l'époque des grands froids, pelisse qui était, au temps jadis, une fourrure précieuse et réservée à l'aristocratie. On en faisait des manteaux à l'usage des Pairs de france, des femmes de qualité et des grands dignitaires de l'Etat. mais depuis que la Haute Noblesse a vendu ses blasons aux Juifs pour en faire des enseignes de boutique, depuis que les grands dignitaires se font condamner pour crime de vol ou de concussion, depuis que les Ducs et Pairs assassinent leurs femmes légitimes comme de simples manants, l'HERMINE est tombée à rien. A un franc cinquante centimes la pièce, qui en veut en aura.

Avec mes plus respectueux hommages, Monsieur le Duc.

* L'ESPRIT DES BETES, A.TOUSSENEL pages 261 à 267


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Message Publié : 23 Oct 2005 16:53 
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Localisation : Région Parisienne
Pas étonnant qu'il soit tombé dans l'oubli. Comparer les bêtes puantes au Juif n'est pas du meilleur goût. Il vaut mieux le laisser dans l'oubli. :(

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 Sujet du message : furet-proof
Message Publié : 13 Déc 2005 14:06 
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Salluste
Salluste

Inscription : 16 Nov 2005 13:24
Message(s) : 206
Bonjour,

Sans doute suis-je hors sujet, mais les petites histoires d'animaux de compagnie me passionnent.

Alors, pour qu'un appartement soit furet-proof, faut-il mettre une caisse de litière où l'animal.... comme mes chats ?

Nota : Tous les chats n'ont pas les effets d'une bombe :lol:

A+

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"Mal nommer les choses, c'est participer au malheur du monde" Albert Camus


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Message Publié : 13 Déc 2005 14:56 
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Jean-Marc Labat a écrit :
Pas étonnant qu'il soit tombé dans l'oubli. Comparer les bêtes puantes au Juif n'est pas du meilleur goût. Il vaut mieux le laisser dans l'oubli. :(

Ce qu'il écrit sur les bêtes ferait hurler n'importe quel naturaliste... Mais en tant que témoignage du passé, je trouve que ça vaut son pesant de cacahuètes !
Autre temps, autres moeurs...


Yoda, qui a appris à ne plus sursauter en lisant ce genre de remarque de mauvais goût...


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Message Publié : 26 Jan 2006 9:59 
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Thucydide
Thucydide

Inscription : 19 Juil 2005 13:57
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Je ne savais pas qu'on pouvait avoir un furet de compagnie.
J'ai toujours cru que le furet avait une irresistible tendance à mordre, étant attiré par la goût du sang, ce qui en fait un imparable dénicheur de lapins et autres rongeurs.
Faites bien attention à vous.
Par ailleurs, il me semble que ça sent très fort...


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Message Publié : 26 Jan 2006 10:09 
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Inscription : 18 Juil 2005 22:07
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Localisation : Nantes
victor73 a écrit :
J'ai toujours cru que le furet avait une irresistible tendance à mordre, étant attiré par la goût du sang, ce qui en fait un imparable dénicheur de lapins et autres rongeurs.

C'est une légende de chasseur (la légende rurale, ça change des légendes urbaines :wink: ) qui existe également pour les belettes et autres mustélidés.

L'odeur est sans doute plus un problème, mais il y en a qui ont des rats, souris en dépit de l'odeur, et même des chiens, alors pourquoi pas un furet...

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Yoda

On ne peut jamais se reposer sur l'amour - et c'est pourtant sur lui que tout repose. - Jean Rostand


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