Bonjour,

A côté de la garde d'Austerlitz, une brasserie est dénommée " le canon d'austerlitz ". Je pense (peut être à tort) à une autre signification, Austerlitz pas de problème la gare est toute proche, pour le canon, je pencherai plutôt pour le coup à boire, que pour la pièce d'artillerie.

Cordialement.

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ne nous prenons pas au sérieux, il n'y aura pas de survivant (A. Allais)

Les deux, mon capitaine : c'est ce qu'on appelle un jeu de mots, et celui ci est savoureux ... à 50%

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"La vie des hommes qui vont droit devant eux, renaitraient-ils dix fois en dix mondes meilleurs, serait toujours semblable à la première. Il n'y a qu'une façon d'aller droit devant soi." (Pierre Mac Orlan)

Il y a l'auberge du mouton blanc, à Paris, où Molière, Racine, Boileau et La Fontaine allaient régulièrement.

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Je ne suis pas cultivé, je suis curieux.

Bonjour,



Pour rester dans les jeux de mots. Je ne sais pas s'il existe encore, mais quand j'habitais Paris dans les années 70, en face de la prison de la Santé, il y avait un bar-restaurant dénommé " A la bonne santé ".

Cordialement

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ne nous prenons pas au sérieux, il n'y aura pas de survivant (A. Allais)

Il était une fois dans la belle ville alsacienne de Strasbourg un honorable aubergiste du nom, si courant dans la région, de Fuchs (Renard). Chasseur redoutable, il ne se montrait jamais sans son fusil, et revenait toujours avec du gibier à poil ou à plume dans sa besace. Son habilité était si surprenante, que les voisins voulurent connaître son secret. Aussi, un jour, le suivirent-ils en catimini. Herr Fuchs a ce jour-là jeté son dévolu sur l’Ill. Il arme son fusil, mais ô surprise ! commence à engager la conversation avec les canards sous les yeux des espions abasourdis. Loin de s’effrayer, les aimables volatiles s’approchent de la rive, à la rencontre de cet étrange personnage qui poursuit imperturbablement son monologue. C’est alors que Fuchs les abats facilement. L’histoire fit le tour de la ville, et donna son nom à l’auberge.

Elle existe toujours, et se nomme depuis le Renard Préchant. Cuisine traditionnelle de qualité dans un cadre agréable, je vous le recommande !

Toujours à Strasbourg est ce que le Winstube "Au coin des pucelles "exsite toujours ? Dans le temps , les étudiants strasbourgeois en goguette finissait leur soirée en démontant le "i" de la devanture . Alors là, si il y a un modo puritain , je n'y coupe pas

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" Je n'oublie pas le Colonel Arnaud Beltrame "

Il y a quelques mois, il existait toujours. Mais le I est disparu depuis bien longtemps, je ne l'ai jamais vu du temps où j'étais strasbourgeois ! J'ignorais que les étudiants étaient responsables ! Moi qui mettait son absence sur le compte d'un malicieux hasard !!

Il existe des bars appelés : Au (ou Le) Bureau, Musée, etc... qui permettent de dissimuler adroitement sa destination réelle ! "Chérie, je suis en retard, mais je suis resté très tard au Bureau" !
Le Bureau est à Nîmes, Le Musée à Troyes (du moins, ceux que je connais, il en existe sans doute plusieurs exemplaires).

De même qu'on compte pléthore d'auberges du Cheval blanc et du Perroquet.

Dans le Vieux Lyon, il subsiste une enseigne du XVIIIe : "A L'Outarde d'Or - je vaux mieux que tous les gibiers".

Bonjour,

peut-être un peu HS, mais j'ai lu récemment que s'il y a tant d'auberges dénommées le Lyon d'or, c'est parce que cela vient de "au lit on dort"...
Vous savez si c'est attesté ?

Bonjour,

J'ajoute à la liste proposée dans les messages précédents le nom de "bouchon". Tout le monde est allé boire un coup dans un "p'tit bouchon"... J'ignorais l'origine de cette expression. Je croyais que cela se rapportait, tout simplement, au bouchon de liège. Eh non!

Ayant retrouvé l'expression en question dans un acte notarié du milieu du XVIIIe siècle, à une époque et dans des lieux où les cabarets n'avaient sans doute pas de nom (?), j'ai pris mon dictionnaire et découvert qu'un bouchon était un rameau de feuillages, une branche de houx ou de genièvre que l'on fixait au-dessus de l'entrée du cabaret et qui signalait ledit cabaret aux passants. Par métonymie, le mot "bouchon" a fini par désigner le cabaret lui-même.

Goûtons voir si le vin est bon, oui oui oui, mais restons éveillés et curieux de ce qui nous entoure!

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http://cahiersduvaldebargis.free.fr

Pour rebondir sur rapentat je pense souvent au "soleil d'Austerlitz" la taverne que l'on retrouve dans le film de Sibra intitulé "La Soule" avec en vedette Richard Bohringer, sorti en 1988 il me semble.

Peut être qu'un taulier quelconque à repris l'enseigne en guise de clin d'oeil...

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"c'est sûr, aujourd'hui c'est pas demain et hier c'est pas aujourd'hui" Filip des 2Be3