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Message Publié : 06 Mars 2022 0:01 
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Polybe
Polybe

Inscription : 16 Jan 2020 17:59
Message(s) : 90
Localisation : Alsace
Bonjour Eudes,

À ma connaissance, à Nanterre, à l'UPV, à l'UBS, il n'y a pas en EAD d'enseignants spécialisés sur l'Égypte ancienne (j'entends cela avant la période hellénistique bien sûr - si c'est après, ça rentre dans le cadre des études grecques puis romaines). En fait, je pense que l'Égypte ancienne rentre plutôt dans le cadre de l'archéologie, pour laquelle il n'y a pas vraiment de formations en EAD.

La seule formation en EAD que je connaisse qui traite spécifiquement de l'Égypte ancienne c'est un des parcours du DU de langues anciennes à Strasbourg : https://histoire.unistra.fr/formation/d ... -tab-cours


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Message Publié : 13 Mars 2022 23:18 
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Hérodote
Hérodote

Inscription : 31 Jan 2021 18:43
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Merci log pour cette réponse !!

Effectivement j'avais déjà pris connaissance du DU en langues anciennes de Strasbourg, qui me paraît intéressant et que je suivrai peut-être en parallèle de mon futur master, si ce n'est pas trop prenant.

Concernant les masters il me semble que tu as raison, les directeurs de recherches se rapprochant le plus de mon sujet sont spécialisés dans les colonies orientales et africaines de la Rome ou la Grèce antique. Et en effet à ma connaissance il n'existe pas de master d'archéologie à distance. Je me contenterai donc d'un professeur d'histoire romaine ou grecque pour effectuer ce master, si bien-sûr l'un d'entre eux accepte mon sujet.

PS : j'ai posté le même message dans la section 'Egypte antique" pour avoir le plus de réponses possibles sur ce sujet.

S'il y a d'autres avis n'hésitez pas :wink:


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Message Publié : 14 Mars 2022 9:16 
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Thucydide
Thucydide

Inscription : 08 Jan 2014 16:12
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Je ne sais pas si cela est envisageable pour un mémoire, à l'inverse d'une thèse, mais peut-être se renseigner sur la possibilité d'une co-direction ? Comme ça, ton enseignant de Besançon serait le référent principal, et un égyptologue ferait un suivi peut-être plus lâche mais plus précis.
(j'ai fini mon master EAD à Besançon l'an dernier ;) )


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Message Publié : 15 Mars 2022 22:56 
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Hérodote
Hérodote

Inscription : 31 Jan 2021 18:43
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Très bonne idée Guigui69 !!

Je vais demander au CTU si c'est possible. Si c'est le cas je contacterai un professeur d'égyptologie (peut-être de l'université de Montpellier qui est spécialisée sur le sujet).

Par pure curiosité, sur quelle période as-tu fait ton mémoire ? Est-ce que le master à Besançon s'est bien passé ?

Merci pour ta réponse ;)


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Message Publié : 13 Juin 2022 17:25 
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Polybe
Polybe

Inscription : 16 Jan 2020 17:59
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Localisation : Alsace
Bonjour,

Comme je viens de finir mon M2, je peux faire un retour d'expérience sur le master EAD de Nanterre. J'ai suivi le parcours histoire ancienne et médiévale, qui offre des séminaires spécialisés - même le cours d'historiographie est axé sur l'Antiquité ou sur le Moyen Âge. Il y a aussi un parcours d'histoire moderne / contemporaine, et un parcours histoire et sciences sociales. C'est donc une philosophie assez différente du master de Besançon où, à ma connaissance, il faut suivre des séminaires dans les quatre périodes.
À Nanterre, tout m'a semblé vraiment bien organisé. Les cours sont intéressants, les consignes pour les exams sont claires, les enseignants répondent à toutes les questions, et en détail. L'administration et le secrétariat font tous les efforts, et lorsque l'on n'a pas certaines informations (par exemple les notes), ils disent clairement et assez précisément quand ces infos seront disponibles. En outre, on peut choisir les cours de manière à n'avoir aucun examen à passer à Nanterre, ce qui est bien pratique (sauf la soutenance bien sûr). Étant donné le nombre d'étudiants qui suivent le master à Nanterre (de l'ordre de 150 en tout, je pense), et étant donné le nombre d'étudiants à chaque séminaire (souvent 50 ou plus), j'ai vraiment été surpris de la qualité des relations avec l'équipe enseignante/admin.
La charge de travail n'est pas trop lourde, mais il faut bien s'organiser, car au second semestre il y a des séminaires en plus du travail de recherche pour le mémoire.


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Message Publié : 05 Juil 2022 14:12 
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Hérodote
Hérodote

Inscription : 30 Juin 2022 9:43
Message(s) : 25
Bonjour log,

Donc d'après ce que vous dites, à Nanterre, il n'est pas possible de suivre un parcours médiévale/moderne par exemple. C'est un peu dommage je trouve. En quoi consiste les examens qui ne sont pas à passer sur place ? Des rapports, des commentaires de textes ?

Merci d'avance.

_________________
"Quand on peut user de violence, il n'est nul besoin de procès" Thucydide


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Message Publié : 05 Juil 2022 17:45 
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Polybe
Polybe

Inscription : 16 Jan 2020 17:59
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Localisation : Alsace
Bonjour,

Pour les combinaisons moderne/médiévale, je pense que c'est possible aussi bien dans le parcours de moderne/contemporaine et celui d'histoire sociale en fait. Il faut voir le détail des séminaires proposés (des plaquettes des trois parcours d'il y a 2 ans sont dispo ici : https://dep-histoire.parisnanterre.fr/m ... 15651-docx https://dep-histoire.parisnanterre.fr/m ... 87366-docx et https://dep-histoire.parisnanterre.fr/m ... 49293-docx) mais la liste complète des cours est là : https://formations.parisnanterre.fr/fr/ ... FMM6T.html).

Les examens à distance sont en partie des compte-rendus ou des fiches de lecture sur des articles ou chapitres d'ouvrages, ou également des mini travaux de recherche, en général en lien avec le sujet de mémoire.


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Message Publié : 10 Juil 2022 17:25 
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Inscription : 04 Déc 2011 22:26
Message(s) : 1652
Localisation : Paris
Oui, Paris X est certainement l'une des meilleures formations à distance en histoire. Les modalités d'évaluation sont assez classiques pour un M1/M2 (fiches de lecture, analyse critique d'un colloque ou "mini-mémoire" sur une thématique en lien avec le cours choisi), mais l'administration est très disponible et un vrai effort est fait pour les étudiants à l'étranger.

A voir si la crise du Covid-19 ne va rendre ces méthodes d'enseignement à distance plus générales dans le monde universitaire ?! :rool:

_________________
« But thought's the slave of life, and life's time fool. » (William Shakespeare)


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Message Publié : 09 Sep 2022 19:26 
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Hérodote
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Inscription : 26 Fév 2019 15:28
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Jadis a écrit :
Oui, Paris X est certainement l'une des meilleures formations à distance en histoire. Les modalités d'évaluation sont assez classiques pour un M1/M2 (fiches de lecture, analyse critique d'un colloque ou "mini-mémoire" sur une thématique en lien avec le cours choisi), mais l'administration est très disponible et un vrai effort est fait pour les étudiants à l'étranger.

A voir si la crise du Covid-19 ne va rendre ces méthodes d'enseignement à distance plus générales dans le monde universitaire ?! :rool:


Bonjour,

Je ne saurais juger les autres master histoire EAD mais, bien que j'ai obtenu mon master à Paris X, je suis franchement déçu par la formation, et, pour avoir dialogué avec d'autres étudiants EAD dans le cadre de projets communs, cette déception fait vraiment consensus.

Le principal problème réside dans le fait que la fac de Paris-Nanterre est une énorme usine à gaz désorganisée et vulnérable aux mouvements de blocage encouragés par l’idéologie politique dominante à la faculté, historiquement très à gauche.
Pour dire les choses crument, étudier en présentiel à Paris X, c'est déjà une gageure, alors si vous ajoutez toutes les contraintes de l'enseignement à distance, c'est un beau, très beau merdier...

Entre l'INCOMPETENCE STRATOSPHERIQUE du personnel administratif, l'absence d’entraide et d'interactions entre les étudiants de la """promo""", les problèmes techniques, les séminaires parfois douteux qui peuvent être validés en bâclant une fiche de lecture de 3 pages, les enseignants-chercheurs démissionnaires (qui font suite 5 jours après l'envoi de vos mails par une réponse monosyllabique) ou qui vous font comprendre que vous êtes des étudiants de seconde zone...
Je ne peux que conseiller aux intéressés de se rapprocher d'une faculté de province "à taille humaine", peut-être moins renommée mais qui sera sans doute plus adaptée pour répondre aux enjeux nouveaux de l'enseignement à distance que le gros mammouth (dinosaure ?) avachi de la banlieue ouest parisienne. :rool:

Et je le répète : ce n'est pas simplement mon avis.


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Message Publié : 09 Sep 2022 23:16 
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Polybe
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Inscription : 16 Jan 2020 17:59
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Localisation : Alsace
Bonjour JG773,

Il semble assez net que nous n'avons pas eu du tout la même expérience à Nanterre - c'est intéressant. Je me demande vraiment si c'est juste une question de perception personnelle, comme quoi devant le même vécu nous aurions une analyse différente, peut-être dépendant des expériences antérieures. Ou peut-être est-ce que nous n'avons pas suivi les mêmes cours, et pas eu affaire aux mêmes personnes dans l'admin. Pour ce qui est des blocages etc que vous avez mentionnés, disons les éléments qui ne dépendent pas stricto sensu de l'organisation du master, l'année dernière était particulièrement calme je pense, j'ai simplement eu de la chance de ce côté.


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Message Publié : 10 Sep 2022 11:57 
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Hérodote
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Inscription : 26 Fév 2019 15:28
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Bonjour,

Au-delà des blocages militants et des problèmes techniques, cette impression persistante d’être délaissé,d’être considéré comme un étudiant de seconde zone, laisse véritablement un gout amer dans la bouche. Délaissé non seulement par l’administration, plus pour des problèmes de manque de ressources et d'organisation, mais, plus grave, délaissé également par le corps enseignant.

Exemple : le responsable du master EAD, à qui j'envoie le visuel et le programme d'une journée d'étude pour diffusion groupée, qui ne prend même pas la peine de faire un copier-coller du message d'annonce dans mon mail.
C'est également cette enseignante qui ne diffuse pas une séance de son séminaire, pour des raisons non élucidées.
Ou encore ceux qui ne prennent même pas la peine de vous communiquer un accusé de réception suite à l'envoi d'une copie, vous laissant dans l'incertitude.
Je n'oublie pas non plus les enseignants qui ont l'élégance de communiquer des informations importantes off the record à la promo présentielle.

Tout cela participe à une accumulation, à une lassitude, devant ce manque criant de considération.


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Message Publié : 10 Sep 2022 13:24 
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Inscription : 20 Juin 2003 22:56
Message(s) : 8135
Localisation : Provinces illyriennes
Et c'est fort compréhensible...
Au-delà du cas de Paris X, que je ne connais pas précisément, il faut noter que d'un point de vue global l'Université française - à l'exception de certains parcours ou filières élitistes, qui vont parfaitement bien - est actuellement gravement malade.
En effet, il y a toujours moins d'enseignants, d'enseignants-chercheurs et d'agents administratifs pour faire autant, sinon plus, qu'auparavant. Entre un discours - accompagné le plus souvent de chartes qualitatives décrochées, par des biais douteux, dans les rapports entretenus avec les étudiants et les services rendus -, stipulant un "accompagnement" de grande qualité des "usagers" ( :rool: ), et les réalités observées, se fondant sur des moyens insuffisants, il y a parfois de quoi être déçu.
Sans compter tous les "espaces de travail" numérisés, aux fonctionnalités parfois médiocres, sous-entendant que tout, ou presque, puisse se réaliser à distance - ce qui est d'une hypocrisie sans nom ; on peut, ainsi, constater que de nombreux étudiants peuvent, justement, se ressentir placés de côté, oubliés, laissés à côté du chemin.
Le slogan (plus que fumeux) de la "révolution du numérique" au service de "l'innovation pédagogique" n'a pas terminé de saper les fondements d'un enseignement supérieur de qualité en France.

_________________
Un peuple sans âme n'est qu'une vaste foule
Alphonse de Lamartine


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Message Publié : 17 Juil 2023 18:29 
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Hérodote
Hérodote

Inscription : 08 Mai 2021 20:25
Message(s) : 3
Bonjour. Lecteur régulier et discret de votre forum, j'aurai quelques questions sur le master histoire à distance de Nanterre. Le secrétariat étant semble-t-il fermé, je m'en remets à vous pour éclaircir quelques premiers points auxquels je réfléchis cet été. J'opte pour Nanterre pour des raisons aussi géographiques mais la documentation consultée me conforte pour l'instant dans mon projet.
Je commence par une brève présentation pour vous éclairer, et vous prie d'en excuser la longueur.

Je souhaite dans un an entamer un travail de recherche en histoire / science politique, autour des droits et devoirs civiques des citoyens et pérégrins de l'Empire romain, et d' une éventuelle comparaison avec notre système juridique français voire européen ( ce dernier point me semble représenter un travail colossal, pour ma part).
Je n'ai pas de licence d'histoire mais une en droit où j'ai eu de bonnes notes dans les matières historiques, et une en musicologie et histoire de la musique. Si tout va bien j'aurai également un master dans cette discipline.
Je suppose qu'il y a une commission qui juge de la validité de mon projet. Je mettrai à profit l'année à venir pour combler les connaissances à avoir au terme d'une licence. Je précise entre nous ( ce que je ne dirais pas a priori dans ma lettre de motivation ) que je ne compte pas travailler a priori dans le domaine de l'histoire et des sciences politiques. Je m'y intéresse de près depuis toujours mais à mon âge , 35 ans, il s'agit surtout d'acquérir une méthode et conforter un bagage pour réfléchir à notre monde contemporain à la lumière du passé. Je connais plusieurs personnes ayant fait un master de philosophie à Nanterre pour le plaisir mais je ne sais pas s'il en est de même pour l'histoire.
Je ne pense pas que cette problématique soit originale. Je sais aussi ce qu'elle peut avoir de délicat sur le plan politique même s'il s'agira d'un travail neutre.

Voici quelques questions pêle-mêle. Elles sont pointues et je conviens qu'elles ne trouveront peut-être pas toutes réponse, mais je vous remercie des lumières que vous pourrez peut-être m'apporter.

- Je crois savoir que les directeurs de recherche y sont tous historiens. Sachant qu'il s'agit d'un master histoire et sciences sociales et non l'inverse, si je puis dire.
J'ai déjà repéré le nom d'un spécialiste de la période tardo antique, que je peux mentionner si j'en ai le droit. Je le joindrai quoi qu'il en soit. Je pense à cette période car la chute de Rome est peut-être ce qu'il y a de plus riche en termes de diversité des citoyens (les fameuses invasions barbares), mais la chute de la République semble être également intéressante de ce point de vue, pour parler d'une autre transition.

- Si j'opte pour une analyse comparative avec notre système contemporain, est-il possible d'avoir un second directeur de recherche en histoire contemporaine ? Dans le cas contraire me conseillez-vous d'être suivi par l'un ou par l'autre ? Mon intérêt et aussi ma lacune se situant à mon avis plus dans la période antique.

- Question pratique, j'ai lu ici que le master ne requiert pas beaucoup de travail autre que le mémoire et dispose d'examens en présentiel? Car je suis salarié.

J'ai déjà constitué une petite bibliographie mais je contacterai le secrétariat à la rentrée pour savoir si c'est une chimère, ne serait-ce que du point de vue administratif.
N'hésitez pas à me donner votre avis :) au plaisir de vous lire et bel été.


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Message Publié : 17 Juil 2023 18:36 
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Hérodote
Hérodote

Inscription : 08 Mai 2021 20:25
Message(s) : 3
Je prends connaissance des messages ci-dessus, étant resté sur le message sur l'égyptologie.
Connaissant un peu la licence de musicologie EAD, je confirme l'insuffisance et pourtant le potentiel des outils en ligne. Cette possibilité d'étudier à distance doit être confortée mais avec un soutien et notamment du tutorat au niveau pour éviter le décrochage.

En ce qui concerne la sensation d'être la dernière roue du carrosse universitaire, j'ai également cette impression en musique et me suis toujours dit que l'histoire, au caractère d'apparence plus scientifique malgré qu'elle reste des sciences humaines, était peut-être épargnée. Seule les sciences dures semblent continuer à bénéficier du budget et de la considération de l'État, peut-être.


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Message Publié : 24 Juil 2023 2:24 
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Hérodote
Hérodote

Inscription : 19 Juil 2023 0:12
Message(s) : 7
Bonjour à tous,

J'intègre le M1 d'histoire à distance de Nanterre à la rentrée (Histoire et sciences sociales du politique).

J'avais plusieurs questions concernant l'organisation des études, si des personnes ayant suivi la formation pouvaient m'éclairer un peu ça serait super !

1. Concernant les examens, y en avait-il beaucoup en présentiel ?
2. Les enseignants-chercheurs sont-ils flexibles concernant les sujets de recherche ?
3. Pourrai-je trouver un directeur de mémoire avant la rentrée sachant qu'ils sont tous en vacances ? Je n'avais même pas conscience que c'était un impératif avant de pouvoir s'inscrire. La plateforme MonMaster n'avait pas d'espace de dépôt réservé au projet de recherche! Je l'ai donc mis dans les pièces facultatives en pensant que c'était effectivement facultatif (oui c'est stupide lol). Je pensais tellement ne pas être accepté dans cette fac (j'avais été refusé en L3) que je n'ai pas jugé bon de déranger un enseignant chercheur pour mon projet de recherche. Me voilà fort embêté maintenant!

Concrètement, j'aurais aimé travailler sur la terreur khmère rouge en m'axant sur les différents récits de survivants mais aussi d'anciens khmers rouges. J'ai fait un bref état des sources et ces dernières me paraissent suffisamment abondantes pour produire quelque chose de correct. J'avais eu deux retours positifs et accords d'enseignants chercheurs d'autres facs pour traiter ce sujet donc je me dis que ce projet est au moins crédible. Seulement j'ai à tout prix besoin d'une formation à distance pour d'autres projets persos

Maintenant les contemporanéistes de Nanterre me semblent vraiment éloignés de ce qui m'intéresse. A part un spécialiste du monde communiste (et encore, j'ai l'impression qu'il est surtout question d'Europe de l'Est) je ne suis pas vraiment aidé. En dehors de l'EFEO et de l'EPHE, les spécialistes de l'Asie du Sud Est sont si rares. D'où ma deuxième question !

Merci par avance


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