Narduccio a écrit :
en science savoir qu'une chose est impossible est déjà un bon résultat.
Certes mais ce savoir est diffusé confidentiellement. Je voudrai bien savoir comment vous l'avez su Narduccio ? Mais je parrierais qu'il n'en ont pas parlé dans la "tête au carré" sur France Inter (là même ou j'avais entendu la première information sur ces potier-disquaire).
D'une façon générale on publie peu dans les revue scientifique les échecs et ils sont encore moins repris par les ouvrages de vulgarisation. C'est fort dommage.
J'ai retrouvé cette info sur le net et elle est rangé à la case canular,
http://mediamus.blogspot.fr/2007/04/les-poteries-porteuses-de-son-vido-de.html.
Pour en revenir au sujet qui concerne l'analyse d'image, je pense qu'il y a des raison d'espérer quand on vois ce qu'on peut faire maintenant en imagerie médicale et spaciale. Couplé à des logiciel de cryptage et de traduction avec des capacités de calculs phénoménal, je pense qu'on y arrivera forcemment un jour ou l'autre. Le problème c'est la conservation de ces reliques jusque là. et Là il ne faut pas faire n'importe quoi.
De Villaret a écrit :
Dans le même ordre d'idées, lors de l'enquête,
quelqu'un a eu l'idée saugrenue d'examiner les rétines des victimes de Jack l' Éventreur
"dès fois que" l'image du meurtrier se soit imprimé sur la rétine ....
Il y a une différence avec ces parchemins brulés :
La relaxation de la cellule rétinienne est trés rapide, la conservation des images est nulle quelquesois la technique de récupération (qui n'existait pas à l'époque) alors que dans le cas des papyrus elle existe.
On en fait l'experience quand on allume un feu avec un journal il reste un fin relief du sans doute au métaux lourds présent dans l'encre donc ça existe. Il suffit d'attendre.